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Les Princes de la gachette (Young Guns)

É.-U. 1988. Western de Christopher Cain avec Emilio Estevez, Kiefer Sutherland, Lou Diamond Philips. Après s'être fait justice en exécutant les meurtriers de leur bienfaiteur, de jeunes cowboys sont poursuivis par les hommes de main d'un entrepreneur véreux. Thème connu. Récit assez crédible sur le plan historique. Approche psychologique inégale. Caméra nerveuse. Jeu fascinant de E. Estevez.

Général
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Les Princes de la gachette (Young Guns)

Général Général

É.-U. 1988. Western de Christopher Cain avec Emilio Estevez, Kiefer Sutherland, Lou Diamond Philips.

Après s'être fait justice en exécutant les meurtriers de leur bienfaiteur, de jeunes cowboys sont poursuivis par les hommes de main d'un entrepreneur véreux. Thème connu. Récit assez crédible sur le plan historique. Approche psychologique inégale. Caméra nerveuse. Jeu fascinant de E. Estevez.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Lorsque leur bienfaiteur, un entrepreneur anglais, est tué par les acolytes de L. G. Murphy, un rival véreux, une bande de jeunes cow-boys décident de se faire hommes de loi pour arrêter les meurtriers. Ils se transforment vite en justiciers quand ils les exécutent aussitôt sous l'instigation de leur nouveau chef, William Bonney, alias Billy the Kid. Billy prétend vouloir attirer ainsi l'attention de Washington sur la corruption dont Murphy est responsable au Nouveau-Mexique. Celui-ci envoie d'ailleurs des chasseurs de primes aux trousses de la bande et finit par assiéger les garçons dans la maison de leur avocat.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On a tourné près de 20 versions des exploits de Billy the Kid! Si les auteurs de celle-ci ne renouvellent pas vraiment le western, leur récit a pourtant la vertu d'être assez crédible sur le plan historique. La psychologie n'est pas fouillée également pour tous les personnages, mais il s'agit avant tout d'un film d'action. Le réalisateur fait d'ailleurs bon usage d'une caméra nerveuse et d'effets sonores surprenants. Bien que la finale déçoive un peu par son emprunt évident au style de Peckinpah, l'ensemble demeure intéressant. Estevez compose un Kid fascinant.

Texte : Johanne Larue

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