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Les Fantômes sont cinglés (High Spirits)

G.-B. 1988. Comédie fantaisiste de Neil Jordan avec Peter O'Toole, Steve Guttenberg, Daryl Hannah. Dans l'espoir d'appâter des clients, un châtelain annonce que sa vieille résidence qu'il a transformée en hôtel est hantée. Histoire rocambolesque. Scénario fertile en gags. Rythme alerte. Réalisation soignée. Distribution de qualité.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Les Fantômes sont cinglés (High Spirits)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

G.-B. 1988. Comédie fantaisiste de Neil Jordan avec Peter O'Toole, Steve Guttenberg, Daryl Hannah.

Dans l'espoir d'appâter des clients, un châtelain annonce que sa vieille résidence qu'il a transformée en hôtel est hantée. Histoire rocambolesque. Scénario fertile en gags. Rythme alerte. Réalisation soignée. Distribution de qualité.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Peter Plunkett, un châtelain irlandais, a transformé sa vieille résidence en hôtel. Mais l'entreprise n'attire personne et un créancier menace de saisir la propriété. Dans l'espoir d'appâter des clients amateurs de sensations fortes, Plunkett annonce que son château est hanté. Afin de faire illusion, il imagine toutes sortes de mises en scène théâtrales où les employés de l'hôtel incarnent des fantômes d'opérette. Les quelques vacanciers tentés par l'expérience ont tôt fait de démystifier la supercherie. Mais le château loge de vrais fantômes dont la tranquillité est dérangée partout ce remue-ménage et qui décident de se manifester.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il est difficile de pointer une ligne directrice dans la carrière éclectique de Neil Jordan, un cinéaste qui passe avec aisance du fantastique merveilleux de COMPANY OF WOLVES au réalisme social de MONA LISA pour ensuite s'adonner à l'humour fantaisiste de ce HIGH SPIRITS rocambolesque. Même si l'ensemble n'est pas aussi riche ou complexe que les films précédents de l'auteur, il y a quand même là de quoi passer un bon moment. Le scénario est fertile en gags et le rythme va bon train jusqu'à la fin. La réalisation est soignée, les décors et les trucages sont réussis et Peter O'Toole domine une distribution de qualité où Irlandais et Américains font bon ménage.

Texte : Martin Girard

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