É.-U. 1988. Drame d'horreur de Tibor Takacs avec Jenny Wright, Clayton Rohner, Randall William Cook. Une jeune femme doit affronter un tueur fou semblable au héros d'un roman dont elle fait la lecture. Amalgame de clichés. Traitement morne. Jeu d'ensemble faible. Interprétation honnête de R.W. Cook.
Une jeune femme doit affronter un tueur fou semblable au héros d'un roman dont elle fait la lecture. Amalgame de clichés. Traitement morne. Jeu d'ensemble faible. Interprétation honnête de R.W. Cook.
N'était le fait qu'il a remporté le prix du Festival d'Avoriaz, cet amalgame de clichés n'attirerait guère l'attention. La compétition devait être particulièrement faible cette année pour qu'on couronne un tel navet. On y aborde (mal) le vieux thème du mélange entre l'imagination et la réalité dans un traitement morne aux images sombres. Le jeu des acteurs est faible à l'exception de celui du maquilleur Randall William Cook qui campe lui-même le rôle du monstre au visage composite.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Yvan Godbout, Québec
Tout à fait d’accord avec vous. Les films en compétition au Festival D’Avoriaz 1990 laissaient à désirer, bien que Pet Semetary de Mary Lambert, Miracle Mile de Steve de Jarnatt (une belle curiosité à découvrir) ou encore Dans le Ventre du Dragon d’Yves Simoneau auraient tous trois mérité le Grand Prix au lieu de ce I, Madman insipide et d’un ennui mortel réalisé sans la moindre finesse par Tibor Takacs.
J'attribue à ce film la Cote