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Le Père Noël est en prison (Ernest Saves Christmas)

É.-U. 1988. Comédie fantaisiste de John Cherry avec Jim Varney, Douglas Seale, Noëlle Parker. Un chauffeur de taxi s'efforce de rendre service au père Noël qui est venu chercher un successeur à Orlando en Floride. Comique peu subtil. Esprit de Noël réduit à des données naïves. Mise en scène burlesque. Passages amusants. Jeu forcé de J. Varney.

Général
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Le Père Noël est en prison (Ernest Saves Christmas)

Général Général

É.-U. 1988. Comédie fantaisiste de John Cherry avec Jim Varney, Douglas Seale, Noëlle Parker.

Un chauffeur de taxi s'efforce de rendre service au père Noël qui est venu chercher un successeur à Orlando en Floride. Comique peu subtil. Esprit de Noël réduit à des données naïves. Mise en scène burlesque. Passages amusants. Jeu forcé de J. Varney.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Chauffeur de taxi à Orlando, en Floride, Ernest Worrell a l'occasion de prendre à l'aéroport un sympathique vieil homme qui ressemble au Père Noël. Il s'agit bien de Santa Claus qui, en cette avant-veille de Noël, est venu se chercher un successeur dans cette ville. Le vieillard exerce ses fonctions depuis près d'un siècle et sent que le temps est venu de passer la main. Au cours du trajet vers la ville, une adolescente fugueuse qui dit s'appeler Harmony Starr, s'impose aux deux hommes. Le prochain Père Noël, qui anime une émission de télévision pour enfants, hésite à accepter la position. Entre-temps Ernest s'efforce de rendre service, mais il commet des bévues.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comique peu subtil révélé par des spots publicitaires, Jim Varney a connu un certain succès avec son premier film, ERNEST GOES TO CAMP. Sa deuxième incursion au grand écran continue dans la même veine burlesque et simpliste. L'esprit de Noël y est réduit à des données naïves centrées sur la croyance en Santa Claus. Bien que vêtu d'un costume civil, le bon vieillard arrive pourtant à garder une certaine dignité à travers les farces et attrapes du scénario. Certains passages font sourire par leur simplicité même et l'ensemble apparaît désarmant dans son manque de sophistication. À défaut de subtilité, le protagoniste met de l'ardeur dans ses efforts comiques.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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