Le Paradis à la fin de vos jours (Pass the Ammo)

Name: Paradis à la fin de vos jours, Le
Director: David Beaird
Genre: Comédie satirique
Duration: 97 min.

É.-U. 1988. Comédie satirique de David Beaird avec Bill Paxton, Linda Kozlowski, Tim Curtis. Alors qu'il essaie de cambrioler une église, un individu profite de la présence de la télévision pour dénoncer les malversations d'un prédicateur. Caricature féroce doublée d'une trame policière invraisemblable. Mise en scène routinière. Interprétation inégale.

Le Paradis à la fin de vos jours (Pass the Ammo)

Général

É.-U. 1988. Comédie satirique de David Beaird avec Bill Paxton, Linda Kozlowski, Tim Curtis.

Alors qu'il essaie de cambrioler une église, un individu profite de la présence de la télévision pour dénoncer les malversations d'un prédicateur. Caricature féroce doublée d'une trame policière invraisemblable. Mise en scène routinière. Interprétation inégale.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1988

Durée :

97 min.

Réalisation :

David Beaird

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Bill Paxton
Linda Kozlowski
Tim Curtis

La grand-mère de Claire s'est fait arnaquer peu de temps avant sa mort par le révérend Ray, un télévangéliste qui a monté avec sa femme Darla une affaire fort lucrative de spectacles édifiants. Jesse, le fiancé de Claire, décide de récupérer cet argent avec l'aide de deux hurluberlus. Le groupe réussit à s'emparer du contenu des coffres du temple où Ray officie devant les caméras de télévision, mais l'alarme est fortuitement déclenchée. Encerclés par la police, les compagnons prennent le révérend, ses employés et les spectateurs en otages. Jesse profite alors de la transmission en direct pour dénoncer les malversations du prêcheur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Débutant son récit par une caricature féroce du monde des télévangélistes, David Beaird mêle à son sujet une invraisemblable trame policière. Malheureusement la mise en scène quelque peu routinière n'arrive pas à soutenir la tension dramatique au-delà de la première moitié du film. Dès la prise d'otages, le scénario semble s'empêtrer dans des scènes d'une longueur inutile pour aboutir à une conclusion des plus abracadabrantes. La plupart des gags tombent à plat par manque, d'inspiration comique ou par défaut de conviction des interprètes qui se démènent de façon inégale dans des rôles souvent mal cernés par le scénario.

Texte : Christian Depoorter

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