Le Dixième Homme (The Tenth Man)

Name: Dixième Homme, Le
Director: Jack Gold
Genre: Mélodrame
Duration: 109 min.

G.-B. 1988. Mélodrame de Jack Gold avec Anthony Hopkins, Kristin Scott Thomas, Derek Jacobi. Durant la Deuxième Guerre mondiale, un riche avocat, tenu en otage par les Allemands, cède tous ses biens à un pauvre pour qu'il prenne sa place devant le peloton d'exécution. Téléfilm adapté d'un scénario de Graham Greene. Mise en scène soignée d'un thème quelque peu artificiel. Bonne interprétation.

Le Dixième Homme (The Tenth Man)

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G.-B. 1988. Mélodrame de Jack Gold avec Anthony Hopkins, Kristin Scott Thomas, Derek Jacobi.

Durant la Deuxième Guerre mondiale, un riche avocat, tenu en otage par les Allemands, cède tous ses biens à un pauvre pour qu'il prenne sa place devant le peloton d'exécution. Téléfilm adapté d'un scénario de Graham Greene. Mise en scène soignée d'un thème quelque peu artificiel. Bonne interprétation.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1988

Durée :

109 min.

Réalisation :

Jack Gold

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Anthony Hopkins
Kristin Scott Thomas
Derek Jacobi

Durant la seconde guerre mondiale, Jean-Louis Chavel, un riche avocat, est pris dans une rafle allemande. Tenu en otage, il risque à tout moment d'être fusillé en représailles aux actes de sabotage de la Résistance. Le sort l'ayant désigné pour le peloton d'exécution, Chavel échange sa place avec Michel, un pauvre bougre, à qui il cède tous ses biens en contrepartie. La guerre finie, l'avocat réussit à se faire héberger dans son ancien domaine, où vivent maintenant la soeur et la mère de Michel, en se faisant passer pour un de ses compagnons de cellule. Mais voici qu'un inconnu prétendant se nommer Chavel fait son apparition.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Oublié depuis près de 45 ans, ce scénario de Graham Greene aurait donné lieu sous les mains d'un Hitchcock à un suspense psychologique des plus prenants. Malheureusement, du fait des limites imposées par son format de téléfilm, il doit se cantonner au niveau de la bonne production de série. Si la reconstitution d'époque s'avère assez soignée, il n'en demeure pas moins que la mise en scène aurait profité d'un peu plus de nervosité et d'audace. Tracés à gros traits, les personnages ne possèdent pas l'étoffe nécessaire pour rendre crédible une telle tragédie. Malgré quelques touches d'artificialité, les interprètes s'en sortent honorablement.

Texte : Christian Depoorter

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