Grievous Bodily Harm

Name: Grievous Bodily Harm
Director: Mark Joffe
Genre: Drame policier
Duration: 96 min.

Aust. 1988. Drame policier de Mark Joffe avec Colin Friels, John Waters, Bruno Lawrence. Un reporter sans scrupules mène une enquête semée d'embûches pour retrouver une jeune femme qui serait liée à une série de meurtres. Intrigue pleine de rebondissements. Tension dramatique bien soutenue. Ensemble d'une facture nerveuse et sensible. Jeu nuancé de J. Waters.

Grievous Bodily Harm (Grievous Bodily Harm)

13 ans +

Aust. 1988. Drame policier de Mark Joffe avec Colin Friels, John Waters, Bruno Lawrence.

Un reporter sans scrupules mène une enquête semée d'embûches pour retrouver une jeune femme qui serait liée à une série de meurtres. Intrigue pleine de rebondissements. Tension dramatique bien soutenue. Ensemble d'une facture nerveuse et sensible. Jeu nuancé de J. Waters.

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Genre :

Drame policier

Année :

1988

Durée :

96 min.

Réalisation :

Mark Joffe

Pays :

Australie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Colin Friels
John Waters
Bruno Lawrence

Chargé de couvrir une série de meurtres, un reporter sans scrupules, Tom Stewart, se rend compte qu'il existe un lien entre ces crimes et Claudine, une jeune femme officiellement morte. À partir d'un film porno où jouait Claudine, Stewart tente de retracer les amis de la jeune femme, espérant ainsi la retrouver. La route à parcourir pour la découvrir est semée d'embûches. Le sergent Ray Birch, chargé de l'enquête, n'apprécie guère les démarches de Stewart et l'ex-marl de la jeune femme, Morris, fait ses propres recherches semées de violences.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce drame policier plein de rebondissements se déroule au gré de l'entêtement du journaliste et du détective. L'imprévisibilité des gestes du tueur maintient le suspense tout au long de l'enquête et le revirement final surprend encore. Le réalisateur, Mark Joffe, a réalisé en Australie des documentaires et des mini-séries très appréciés. Il signe ici un premier film de facture nerveuse et sensible. Le montage serré et la musique de Chris Neal contribuent au maintien de la tension dramatique. John Waters interprète avec nuances son personnage de tueur dans une interprétation d'ensemble convaincante.

Texte : Sylvie Beaupré

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