Far North

Name: Far North
Director: Sam Shepard
Genre: Drame psychologique
Duration: 90 min.

É.-U. 1988. Drame psychologique de Sam Shepard avec Jessica Lange, Charles Durning, Tess Harper. À la suite d'un accident, un fermier demande à sa fille, venue expressément de New York, de le venger en tuant son cheval. Parabole un peu longuette sur la dislocation de la cellule familiale. Relations conflictuelles parfois à la limite de la caricature. Un certain humour ironique. Mise en scène assez académique et hésitante. Interprétation fort valable.

Far North (Far North)

Général

É.-U. 1988. Drame psychologique de Sam Shepard avec Jessica Lange, Charles Durning, Tess Harper.

À la suite d'un accident, un fermier demande à sa fille, venue expressément de New York, de le venger en tuant son cheval. Parabole un peu longuette sur la dislocation de la cellule familiale. Relations conflictuelles parfois à la limite de la caricature. Un certain humour ironique. Mise en scène assez académique et hésitante. Interprétation fort valable.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1988

Durée :

90 min.

Réalisation :

Sam Shepard

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Jessica Lange
Charles Durning
Tess Harper

Ayant abouti sur un lit d'hôpital à la suite d'un accident, Bertrum demande à sa fille Kate, venue expressément de New York, de le venger en tuant son cheval. Kate hésite, ne comprenant pas vraiment les motivations de son père. De retour à la ferme familiale, elle y retrouve les siens engoncés dans leurs problèmes personnels. Sa mère semble perdre pied, petit à petit, avec la réalité, sa nièce Jilly passe son temps à s'offrir au premier venu et sa soeur Rita lui témoigne beaucoup d'agressivité. Le cheval réussite s'enfuir, et Jilly se perd dans la forêt en essayant de le rattraper.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après avoir été auteur et acteur à succès, voici que Sam Shepard passe de l'autre côté de la caméra pour réaliser son premier film. Le résultat d'ensemble se révèle assez mitigé. Malgré un certain humour ironique, cette parabole sur la dislocation de la cellule familiale moderne finit par se traîner en longueur, cherchant désespérément à s'accrocher à un scénario bien mince pour la profondeur du thème abordé. Les relations conflictuelles et hystériques dans lesquelles baignent les personnages sont parfois à la limite de la caricature. La mise en scène, assez académique et hésitante use volontiers d'images symboliques pas toujours convaincantes. L'interprétation d'ensemble reste pourtant fort valable.

Texte : Christian Depoorter

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