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Elvira: maîtresse des ténèbres (Elvira, Mistress of the Dark)

É.-U. 1988. Comédie fantaisiste de James Signorelli avec Cassandra Peterson, Edie McClurg, W. Morgan Sheppard. Nouvellement installée dans la maison qu'elle vient d'hériter, une présentatrice de films d'horreur à la télévision entre en conflit avec son oncle. Scénario peu subtil. Gags d'une lourdeur confondante. Décors surannés. Interprétation caricaturale.

Général
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Elvira: maîtresse des ténèbres (Elvira, Mistress of the Dark)

Général Général

É.-U. 1988. Comédie fantaisiste de James Signorelli avec Cassandra Peterson, Edie McClurg, W. Morgan Sheppard.

Nouvellement installée dans la maison qu'elle vient d'hériter, une présentatrice de films d'horreur à la télévision entre en conflit avec son oncle. Scénario peu subtil. Gags d'une lourdeur confondante. Décors surannés. Interprétation caricaturale.

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Malofilm
Elvira n'est pas le genre de personne qu'on s'attend à voir dans une petite ville traditionnelle comme Callwell au Massachusetts. Présentatrice de films d'horreur à la télévision, Elvira est venue réclamer l'héritage d'une vieille tante et s'est présentée sur place dans son costume de scène, une robe largement échancrée. Reçue froidement par les citoyens locaux, elle s'installe pourtant dans la maison ancienne qui lui revient de droit Un oncle lui dispute la propriété d'un livre contenant des formules de sorcellerie, ce qui donne lieu à des incidents surprenants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'actrice Cassandra Peterson qui s'est fait connaître à la télévision en tant qu'Elvira, fausse sorcière qui offre des vieux films d'horreur avec force plaisanteries, fait ses débuts au cinéma dans le même rôle. La subtilité a été laissée au vestiaire par les scénaristes comme par le réalisateur qui font leurs choux gras de facéties risquées et de gags forcés. Le traitement comique est d'une lourdeur confondante et la mise en scène utilise des décors surannés où les clichés risquent moins de surprendre. Elvira est une caricature ambulante et les autres personnages ne sont guère plus réalistes.

Texte : Robert-Claude Bérubé

COMMENTAIRES

10 septembre 2016, 21:03:40

Par : Patrick Aubert, Montréal

Bonne parodie des films de Roger Corman et autres films de série B!

J'attribue à ce film la Cote 3


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