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Badis

Mar. 1988. Drame de moeurs de Mohamed Abderrahman avec Jitali Farhati, Maribel Verdu, Zakia Tahri. Dans un village marocain de la côte méditerranéenne, la fille d'un pêcheur poursuit une idylle secrète avec un soldat en poste dans une forteresse voisine. Sujet traité avec un esprit critique. Traitement essentiellement visuel. Contexte pittoresque bien exploité. Interprétation sobre.

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Badis (Badis)

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Mar. 1988. Drame de moeurs de Mohamed Abderrahman avec Jitali Farhati, Maribel Verdu, Zakia Tahri.

Dans un village marocain de la côte méditerranéenne, la fille d'un pêcheur poursuit une idylle secrète avec un soldat en poste dans une forteresse voisine. Sujet traité avec un esprit critique. Traitement essentiellement visuel. Contexte pittoresque bien exploité. Interprétation sobre.

Genre :
Année :
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Distributeur :
Crépuscule
Au nord du Maroc, sur la côte de la Méditerranée, une forteresse espagnole domine encore dans les années 70 le village de Badis. Moira, la fille d'un pêcheur, poursuit une idylle secrète avec le soldat qui, chaque jour, vient chercher de l'eau au puits du village. Elle trouve une confidente en Touria, l'épouse du nouvel instituteur. Le couple vient de Casablanca et c'est par suite d'une jalousie maladive que le mari a obtenu son transfert dans ce coin éloigné. Lorsque les villageois découvrent les rencontres amoureuses de Moira, ils obtiennent du gouverneur du fort un changement de convoyeur. Moira et Touria décident alors de fuir ensemble Badis, mais leur équipée risque de mal tourner.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le cinéaste marocain Tazi, qui a étudié le cinéma en France et aux Etats-Unis, porte un regard critique sur le monde clos des villages et sur la sujétion où est tenue la femme dans ce contexte. L'auteur s'exprime surtout par l'image et limite les dialogues au minimum. L'illustration profite heureusement du contexte pittoresque du village décrit. Certaines transitions dramatiques ne sont pas des plus adroites, mais le film retient l'attention tant par son sujet que par son traitement. L'interprétation est sobre mais expressive.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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