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Bad Dreams

É.-U. 1988. Drame d'horreur de Andrew Fleming avec Jennifer Rubin, Bruce Abbott, Richard Lynch. Dans un hôpital psychiatrique, une jeune femme revoit dans ses rêves le chef d'une secte religieuse responsable d'un suicide collectif dont elle est la seule survivante. Jeu fort artificiel entre la fantaisie et la réalité. Mise en scène manquant de sûreté. Interprétation appliquée sans plus.

13 ans + (horreur)
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Bad Dreams (Bad Dreams)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1988. Drame d'horreur de Andrew Fleming avec Jennifer Rubin, Bruce Abbott, Richard Lynch.

Dans un hôpital psychiatrique, une jeune femme revoit dans ses rêves le chef d'une secte religieuse responsable d'un suicide collectif dont elle est la seule survivante. Jeu fort artificiel entre la fantaisie et la réalité. Mise en scène manquant de sûreté. Interprétation appliquée sans plus.

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Cynthia se réveille d'un long sommeil comateux dans un hôpital psychiatrique. Elle ne se souvient pas des circonstances qui ont causé sa maladie, mais on lui apprend qu'elle est la seule survivante du suicide collectif des membres d'une curieuse secte religieuse. Cynthia revoit dans ses rêves les circonstances de cet holocauste et y retrouve un homme inquiétant, Harris, le chef de la secte, qui l'invite à le suivre dans la mort. Quand elle refuse, il lui affirme qu'il s'en prendra aux membres de son groupe de thérapie et, de fait, ceux-ci connaissent l'un après l'autre une mort violente. Mais le médecin qui s'occupe du cas de Cynthia découvre de curieux agissements dans l'hôpital.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À première vue, le film semble vouloir faire concurrence à la série populaire A NIGHTMARE ON ELM STREET: cauchemars, apparitions d'un mort à l'esprit retors, violences sanglantes. Le jeu entre la fantaisie et la réalité y apparaît cependant fort artificiel, d'autant qu'on tente en finale de donner à tout ce qui a précédé une explication rationnelle qui se révèle peu convaincante. La mise en scène manque de sûreté et l'interprétation est appliquée sans plus.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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