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À gauche en sortant de l'ascenseur

Fr. 1988. Comédie de Édouard Molinaro avec Pierre Richard, Emmanuelle Béart, Richard Bohringer. Pour être venu en aide à sa jolie voisine qui a oublié ses clés dans son appartement, un peintre se retrouve impliqué dans une série de quiproquos. Utilisation de bonnes vieilles recettes du vaudeville à la française. Mise en scène rondement menée. Rythme allègre. Interprétation souple.

Général
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À gauche en sortant de l'ascenseur (À gauche en sortant de l'ascenseur)

Général Général

Fr. 1988. Comédie de Édouard Molinaro avec Pierre Richard, Emmanuelle Béart, Richard Bohringer.

Pour être venu en aide à sa jolie voisine qui a oublié ses clés dans son appartement, un peintre se retrouve impliqué dans une série de quiproquos. Utilisation de bonnes vieilles recettes du vaudeville à la française. Mise en scène rondement menée. Rythme allègre. Interprétation souple.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Gérard Lauzier
D'après la piéce de Gérard Lauzier
Photographie :
Musique :
Montage :
La jeune et jolie Éva vit avec un compagnon robuste et jaloux, Boris. En voulant remettre à celui-ci un porte-documents qu'il a oublié en partant, elle se retrouve en tenue légère sur le palier alors que le vent a fermé la porte de leur appartement. Elle a recours à son voisin, le peintre Yan, qui attend justement la visite d'une femme mariée, Florence, dont il est amoureux. Yan accepte pourtant de passer par la fenêtre pour ouvrir à Éva la porte de son logement, mais il se trouve nez à nez avec Boris qui interprète mal la situation. Florence, de son côté, croit qu'Éva est la petite amie de Yan, ce qui fait son affaire quand son mari survient.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans sa pièce, Gérard Lauzier, auteur de bandes dessinées décapantes, reprenait avec une certaine ingéniosité les bonnes vieilles recettes du vaudeville à la française en les assaisonnant d'une sauce café-théâtre. Les portes claquent, les quiproquos se bousculent et les couples dansent la ronde des méprises dans une farce à l'emporte-pièce. Le réalisateur Édouard Molinaro (L'EMMERDEUR) mène tout cela à la baguette dans une mise en scène qui respecte la structure de l'original après une courte entrée en matière. Tout cela ne va pas très loin, mais se poursuit de façon allègre et amusante. Les interprètes jouent avec souplesse les marionnettes d'un petit théâtre mécanique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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