Wish You Were Here

Name: Wish You Were Here
Director: David Leland
Genre: Drame psychologique
Duration: 91 min.

G.-B. 1987. Drame psychologique de David Leland avec Emily Lloyd, Geoffrey Hutchings, Tom Bell. Se sentant étouffée par la mesquinerie de sa petite ville, une adolescente rebelle des années 50 se défend par une effronterie manifeste. Portrait critique d'une société étriquée et hypocrite. Mise en scène habile. Rythme vif. Interprétation primesautière d'E. Lloyd.

Wish You Were Here (Wish You Were Here)

Général

G.-B. 1987. Drame psychologique de David Leland avec Emily Lloyd, Geoffrey Hutchings, Tom Bell.

Se sentant étouffée par la mesquinerie de sa petite ville, une adolescente rebelle des années 50 se défend par une effronterie manifeste. Portrait critique d'une société étriquée et hypocrite. Mise en scène habile. Rythme vif. Interprétation primesautière d'E. Lloyd.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1987

Durée :

91 min.

Réalisation :

David Leland

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Norstar

Interprètes :

Emily Lloyd
Geoffrey Hutchings
Tom Bell

Se sentant étouffée par la mesquine société provinciale des années 50, une adolescente rebelle, Lynda Mansell, se défend par une effronterie manifeste et une insouciance qui n'est qu'apparente. Elle a perdu sa mère à dix ans et en veut à son père qui ne sait pas lui manifester d'affection. En quête d'amour, elle a une aventure passagère avec un jeune chauffeur d'autobus prétentieux puis se tourne vers un ami de son père, un projectionniste quinquagénaire à l'air sinistre. Elle se fatigue de cette liaison décevante, mais se retrouve enceinte.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'auteur, qui en est à son premier film comme réalisateur, a transposé les souvenirs de jeunesse d'une entremetteuse notoire. Il en a profité pour tracer un portrait critique d'une société étriquée et hypocrite non sans accentuer quelques traits pour rendre plus plausible l'attitude de sa jeune héroïne. S'il y a un brin de complaisance dans le traitement, il y a aussi une part de vérité cruelle et une bonne dose de mélancolie. Le rythme est vif mais les motivations n'apparaissent pas toujours clairement. L'ensemble profite fortement de l'interprétration primesautière d'Emily Lloyd.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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