The Darkside

Name: Darkside, The
Director: Constantino Magnatta
Genre: Drame policier
Duration: 98 min.

Can. 1987. Drame policier de Constantino Magnatta avec Tony Galati, Cyndy Preston, Peter Reed. Après avoir sauvé une belle blonde, un chauffeur de taxi a des ennuis avec des gangsters qui recherchent une cassette vidéo que la jeune fille a cachée dans sa voiture. Salmigondis de clichés. Scénario indigent. Effets répétitifs. Mise en scène effacée. Interprétation insignifiante.

The Darkside (The Darkside)

13 ans + (violence)

Can. 1987. Drame policier de Constantino Magnatta avec Tony Galati, Cyndy Preston, Peter Reed.

Après avoir sauvé une belle blonde, un chauffeur de taxi a des ennuis avec des gangsters qui recherchent une cassette vidéo que la jeune fille a cachée dans sa voiture. Salmigondis de clichés. Scénario indigent. Effets répétitifs. Mise en scène effacée. Interprétation insignifiante.

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Genre :

Drame policier

Année :

1987

Durée :

98 min.

Réalisation :

Constantino Magnatta

Pays :

Canada

Distributeur :

Vidéo Vision

Interprètes :

Tony Galati
Cyndy Preston
Peter Reed

Travaillant la nuit comme chauffeur de taxi à Toronto, Tony passe surtout son temps à éviter les mauvais coups. Pourtant un soir, il sauve, un peu à contrecoeur, Laura, une belle blonde, qui est poursuivie par une espèce de maniaque. Laura, qui fuit Sully, l'homme de main de Roscoe, cache discrètement une cassette vidéo dans le taxi de Tony. Ce document, qu'elle a volé à Roscoe, contient des scènes où l'on voit les deux gangsters abuser d'elle après l'avoir soûlée. Tony revoit le lendemain Laura qui vient reprendre sa cassette. Accroché à leurs traces, Sully est prêt à tout pour s'emparer de cet objet.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On pourrait croire à la vue de ce salmigondis de clichés que cette production de série B parodie les classiques du genre. Il n'en est rien pourtant. Il s'agit bien d'une pâle copie, à peine déguisée, de TAXI DRIVER dans laquelle on aurait rajouté quelques ingrédients de BLUE VELVET. L'indigence du scénario alliée à une mise en scène particulièrement effacée ne fait qu'accentuer l'impression de médiocrité de l'ensemble. À travers cette accumulation de situations répétitives et d'effets prévisibles, on notera encore l'insignifiance de l'interprétation dominée par deux "méchants" grotesques qui semblent sortis tout droit d'une bande dessinée.

Texte : Christian Depoorter

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