Someone to Love

Name: Someone to Love
Director: Henry Jaglom
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 109 min.

É.-U. 1987. Comédie de moeurs de Henry Jaglom avec Henry Jaglom, Orson Welles, Andrea Marcovicci. Souffrant lui-même de problèmes sentimentaux, un réalisateur réunit diverses personnes en mal d'amour pour discuter de relations humaines. Sujet traité sur un mode ironique assez intéressant. Réalisation souple. Présence imposante d'O. Welles. Interprétation détendue.

Someone to Love (Someone to Love)

Général

É.-U. 1987. Comédie de moeurs de Henry Jaglom avec Henry Jaglom, Orson Welles, Andrea Marcovicci.

Souffrant lui-même de problèmes sentimentaux, un réalisateur réunit diverses personnes en mal d'amour pour discuter de relations humaines. Sujet traité sur un mode ironique assez intéressant. Réalisation souple. Présence imposante d'O. Welles. Interprétation détendue.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1987

Durée :

109 min.

Réalisation :

Henry Jaglom

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Del Fuego

Interprètes :

Henry Jaglom
Orson Welles
Andrea Marcovicci

Quand son frère Mickey vient de New York à Los Angeles pour se débarrasser d'une propriété familiale, en l'occurrence une salle de spectacle fermée depuis quelque temps, le réalisateur Danny Sapir a une idée. Souffrant lui-même de problèmes dans ses relations sentimentales avec la chanteuse Helen Eugene, il réunit un jour de la Saint-Valentin diverses personnes semblablement en mal d'amour pour discuter de solitude et de relations humaines devant une équipe de tournage, Helen est invitée elle aussi, mais n'apprécie pas outre mesure cette initiative. La rencontre profite par ailleurs des propos d'un cinéaste réputé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur d'une demi-douzaine de films, Henry Jaglom poursuit dans le cinéma américain une carrière indépendante et marginale. Ses dernières oeuvres s'inspirent le plus souvent d'expériences personnelles transposées selon un mode ironique et autocritique assez intéressant. SOMEONE TO LOVE ressemble à une séance d'improvisation même si les dialogues ont été mis au point à l'avance et l'interprétation se situe dans un climat de détente perceptible, malgré les frustrations exprimées par l'un et par l'autre personnage. L'ensemble profite énormément de la présence imposante d'Orson Welles, bien qu'il apparaisse à l'évidence que sa contribution a été filmée d'une seule traite puis insérée au montage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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