Nom de code: Dancer (Her Secret Life)

Name: Nom de code: Dancer
Director: Buzz Kulik
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 90 min.

É.-U. 1987. Drame d'espionnage de Buzz Kulik avec Kate Capshaw, Jeroen Krabbé, Gregory Sierra. Une ex-espionne, devenue institutrice, est obligée de reprendre du service pour venir au secours d'un ami. Téléfilm au récit confus. Conclusion insatisfaisante. Mise en scène inégale. Interprétation valable.

Nom de code: Dancer (Her Secret Life)

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É.-U. 1987. Drame d'espionnage de Buzz Kulik avec Kate Capshaw, Jeroen Krabbé, Gregory Sierra.

Une ex-espionne, devenue institutrice, est obligée de reprendre du service pour venir au secours d'un ami. Téléfilm au récit confus. Conclusion insatisfaisante. Mise en scène inégale. Interprétation valable.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1987

Durée :

90 min.

Réalisation :

Buzz Kulik

Pays :

États-Unis

Distributeur :

CinémaPlus

Interprètes :

Kate Capshaw
Jeroen Krabbé
Gregory Sierra

Anne Goodwin, une ancienne espionne de la CIA, tente depuis huit ans de mener une vie normale d'institutrice et d'épouse fidèle dans la banlieue de Los Angeles. Mais un coup de fil mystérieux l'oblige à reprendre du service. Un ancien collègue, qui a eu l'occasion de lui sauver la vie, s'est fait arrêter à Cuba et elle seule peut l'aider, vu qu'une mission précédente l'a amenée à fréquenter un proche de Fidel Castro. N'ayant jamais parlé de son passé à son mari, Anne s'arrange pour se trouver un alibi et file à La Havane. Sur place, elle découvre que cet appel au secours n'était qu'un prétexte pour l'attirer dans une sombre machination.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réalisé pour la télévision, ce film accumule bon nombre de défauts que l'on trouve dans ce genre de production. Sa plus grande faiblesse réside dans l'aspect factice et quelque peu confus du scénario. Les développements sont non seulement tirés par les cheveux, mais aboutissent à une conclusion en queue de poisson qui se révèle insatisfaisante. La mise en scène très moyenne, surtout dans l'art des flashbacks, ne cherche pas à approfondir des personnages dont les motivations restent constamment floues. Pour professionnelle qu'elle soit, l'interprétation n'en est pas moins assez quelconque, pour ne pas dire terne.

Texte : Christian Depoorter

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