Marie s'en va-t-en ville

Name: Marie s'en va-t-en ville
Director: Marquise Lepage
Genre: Drame psychologique
Duration: 75 min.

Can. 1987. Drame psychologique de Marquise Lepage avec Geneviève Lenoir, Frédérique Collin, Denis Levasseur. Découvrant la grande ville, une fugueuse de treize ans se lie d'amitié avec une prostituée qui l'héberge. Sujet assez mince. Nombreuses répétitions. Afféteries inutiles. Interprétation attachante. (sortie en salle: 9 octobre 1987)

Marie s'en va-t-en ville (Marie s'en va-t-en ville)

Général

Can. 1987. Drame psychologique de Marquise Lepage avec Geneviève Lenoir, Frédérique Collin, Denis Levasseur.

Découvrant la grande ville, une fugueuse de treize ans se lie d'amitié avec une prostituée qui l'héberge. Sujet assez mince. Nombreuses répétitions. Afféteries inutiles. Interprétation attachante. (sortie en salle: 9 octobre 1987)

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1987

Durée :

75 min.

Réalisation :

Marquise Lepage

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Lapointe Films

Producteurs :

Interprètes :

Geneviève Lenoir
Frédérique Collin
Denis Levasseur

Marie, qui a treize ans, n'a pas aimé la façon dont son frère Serge, plus âgé qu'elle, a forcé son intimité. Troublée par l'incident et n'osant en parler à sa mère, elle est partie à l'aventure vers la grande ville où elle ne connaît personne. Marie se retrouve seule sur une rue aux lumières criardes où elle a l'occasion de rendre service à une inconnue. Il s'agit d'une prostituée, Sarah, qui a quelque chose à cacher. Celle-ci s'apitoie sur la fugueuse et l'emmène dans son appartement. Marie finit par découvrir le triste métier de sa bienfaitrice et est témoin d'ennuis que lui cause un revendeur de drogues.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si l'on se fie au générique, Marquise Lepage a su s'entourer de divers collaborateurs chevronnés tant dans la conception de son scénario que dans la réalisation de son film. Cela n'en confère pas pour autant de la solidité à un sujet par trop mince qui aurait à peine de quoi nourrir un film de moyen métrage. Il en résulte maints piétinements et répétitions dans ce qui se veut une approche touchante d'une amitié incongrue. La mise en scène se perd en afféteries inutiles et en verbiages. Toutefois, les protagonistes arrivent presque à sauver la mise par leur jeu direct et attachant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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