Little Dorrit Part 1: Nobody's Fault

Name: Little Dorrit Part 1: Nobody's Fault
Director: Christine Edzard
Genre: Drame social
Duration: 175 min.

G.-B. 1987. Drame social de Christine Edzard avec Derek Jacobi, Joan Greenwood, Roshan Seth. En Angleterre au XIXe siècle, une jeune couturière, qui vit en prison avec son père endetté, reçoit l'aide du fils de sa patronne. Récit adapté d'un roman de Charles Dickens. Personnages pittoresques. Habile reconstitution d'époque. Réalisation maîtrisée. Interprétation colorée de grands comédiens.

Little Dorrit Part 1: Nobody's Fault (Little Dorrit Part 1: Nobody's Fault)

Général

G.-B. 1987. Drame social de Christine Edzard avec Derek Jacobi, Joan Greenwood, Roshan Seth.

En Angleterre au XIXe siècle, une jeune couturière, qui vit en prison avec son père endetté, reçoit l'aide du fils de sa patronne. Récit adapté d'un roman de Charles Dickens. Personnages pittoresques. Habile reconstitution d'époque. Réalisation maîtrisée. Interprétation colorée de grands comédiens.

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Genre :

Drame social

Année :

1987

Durée :

175 min.

Réalisation :

Christine Edzard

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Derek Jacobi
Joan Greenwood
Roshan Seth

De retour de Chine, Arthur Clennam rentre chez sa mère à Londres, après vingt ans d'absence. Désormais à demi paralysée, la vieille femme est toujours entourée de deux fidèles serviteurs et d'une toute jeune couturière surnommée Little Dorrit. Intrigué par la présence de la jeune fille, Clennam cherche à savoir comment elle a été mise en contact avec sa famille. Lorsqu'il apprend que Little Dorrit vit dans la prison de Marchalsea parce que son père n'a pas pu payer ses dettes, Clennam tente de leur venir en aide. Grâce aux recherches d'un ami, il arrive à faire profiter la famille Dorrit d'un héritage non réclamé, mais, à la suite de revers de fortune, il aboutit lui-même à Marshalsea.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tout comme le roman de Dickens, ce film peint par touches précises des personnages pittoresques et bien hiérarchisés qui évoluent dans un monde hypocrite où l'argent règne en maître. Cette Angleterre du XIXe siècle a été fort habilement reconstituée à partir de modèles de décors et de costumes de l'époque. Dans ces lieux exigus, la réalisatrice a su diriger d'une main ferme les 242 rôles parlants. Les personnages très colorés sont merveilleusement interprétés par de grands comédiens.

Texte : Sylvie Beaupré

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