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Les Sorcières d'Eastwick (The Witches of Eastwick)

É.-U. 1987. Comédie fantaisiste de George Miller avec Jack Nicholson, Cher, Susan Sarandon. Dans un village de Nouvelle-Angleterre, trois jeunes femmes esseulées sont séduites par un étranger qui semble être le diable en personne. Variations pyrotechniques amusantes sur une fable fantaisiste assez anecdotique. Mise en scène habile. Interprétation truculente.

Général
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Les Sorcières d'Eastwick (The Witches of Eastwick)

Général Général

É.-U. 1987. Comédie fantaisiste de George Miller avec Jack Nicholson, Cher, Susan Sarandon.

Dans un village de Nouvelle-Angleterre, trois jeunes femmes esseulées sont séduites par un étranger qui semble être le diable en personne. Variations pyrotechniques amusantes sur une fable fantaisiste assez anecdotique. Mise en scène habile. Interprétation truculente.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Michael Cristofer
D'après le roman de John Updike
Photographie :
Musique :
Dans un village de Nouvelle-Angleterre, trois jeunes femmes esseulées forment une sorte de club en marge de la population locale. Déçues par leurs expériences sentimentales, elles font ensemble le voeu de rencontrer un homme hors du commun. Survient un étranger qui s'installe dans un manoir ancien du voisinage et séduit tour à tour chaque membre du trio grâce à un étrange pouvoir d'attraction. Une adversaire de ce nouveau venu périt dans des circonstances bizarres, ce qui fait réfléchir les trois amies. Elles décident de lutter contre le survenant qui semble être le diable en personne.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le romancier John Updike est reconnu comme un observateur ironique des moeurs de la classe bourgeoise à l'américaine. Avec THE WITCHES OF EASTWICK, il a composé une fable fantaisiste sur les orientations du féminisme. Les auteurs du film n'en ont guère conservé que l'anecdote autour de laquelle ils ont brodé des variations pyrotechniques assez amusantes. On ne saurait taxer le réalisateur des MAD MAX de subtilité mais on ne pourrait lui récuser une habileté technique certaine. Jack Nicholson a la part du lion en jouant les diables avec une truculence satisfaite.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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