Le Sorgho rouge (Hong Gaoliang)

Name: Sorgho rouge, Le
Director: Zhang Yimou
Genre: Drame de moeurs
Duration: 92 min.

Chin. 1987. Drame de moeurs de Zhang Yimou avec Gong Li, Jiang Wen, Teng Rujun. La vie d'une femme, de son arrivée à une fabrique de vin dont elle prendra la direction à son action de résistance contre l'envahisseur japonais. Récit à saveur historique. Traitement lyrique. Décor naturel évocateur. Forte présence des protagonistes.

Le Sorgho rouge (Hong Gaoliang)

13 ans +

Chin. 1987. Drame de moeurs de Zhang Yimou avec Gong Li, Jiang Wen, Teng Rujun.

La vie d'une femme, de son arrivée à une fabrique de vin dont elle prendra la direction à son action de résistance contre l'envahisseur japonais. Récit à saveur historique. Traitement lyrique. Décor naturel évocateur. Forte présence des protagonistes.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1987

Durée :

92 min.

Réalisation :

Zhang Yimou

Pays :

Chine

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Gong Li
Jiang Wen
Teng Rujun

Récompenses

À la fin des années 20, une adolescente, Jiu Er, livrée en mariage par son père au propriétaire lépreux d'une fabrique de vin, est transportée en palanquin chez son futur époux. Le cortège est attaqué par un bandit qui enlève la jeune femme, mais un porteur, Yu, vole à son secours. Un peu plus tard, Yu devient l'amant de Jiu Er et assassine son vieux mari. Jiu Er prend en main la direction de la fabrique dont le produit connaît le succès en de curieuses circonstances. Dix ans plus tard, alors que Jiu est mère d'un garçon, les Japonais envahissent la région. Outrée par les exactions de l'ennemi, Jiu Er organise une action de résistance.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Chef-opérateur de certains films chinois appréciés, tel TERRE JAUNE, et acteur à l'occasion, Zhang Yimou fait de brillants débuts à la réalisation avec cette oeuvre d'un lyrisme vibrant qui a remporté le grand prix du Festival de Berlin en 1988. Évoquant un passé coloré, l'illustration profité à plein des décors naturels en situant diverses scènes dans des champs de hautes herbes balayées par le vent comme pour souligner les passions primitives qui s'y déchaînent. En dernière partie, on met l'accent de façon un peu artificielle sur les sentiments patriotiques comme pour se faire pardonner les débordements du début. Les acteurs ont une forte présence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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