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Le Chant des Sirènes (I've Heard the Mermaids Singing)

Can. 1987. Comédie de Patricia Rozema avec Sheila McCarthy, Paule Baillargeon, Ann-Marie McDonald. Malgré son incompétence manifeste, une jeune femme se trouve un emploi temporaire dans une galerie d'art à Toronto. Traitement insolite. Rythme primesautier amusant. Jolies trouvailles stylistiques. Interprétation sympathique de S. McCarthy. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

Général
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Le Chant des Sirènes (I've Heard the Mermaids Singing)

Général Général

Can. 1987. Comédie de Patricia Rozema avec Sheila McCarthy, Paule Baillargeon, Ann-Marie McDonald.

Malgré son incompétence manifeste, une jeune femme se trouve un emploi temporaire dans une galerie d'art à Toronto. Traitement insolite. Rythme primesautier amusant. Jolies trouvailles stylistiques. Interprétation sympathique de S. McCarthy. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Cinéphile
Récompenses
Malgré son incompétence manifeste, Pollya réussit à se trouver un emploi temporaire dans une galerie d'art de Toronto. Elle porte une grande admiration à la directrice de l'établissement Gabrielle, et celle-ci ressent de la sympathie pour cette employée maladroite mais pleine de bonne volonté. Polly éprouve un certain désarroi lorsqu'elle apprend que Gabrielle a une liaison avec une jeune femme curieusement appelée Mary Joseph. Elle croit découvrir que Gabrielle a un talent méconnu d'artiste, mais il appert que les oeuvres qu'elle lui attribue ont été peintes par Mary Joseph.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce premier film de long métrage d'une cinéaste de Toronto fait montre d'une certaine invention dans la mise en place des situations et d'un goût marqué de l'insolite dans le traitement. Comme dans JACQUES ET NOVEMBRE, les techniques de la vidéo se marient heureusement à celles du cinéma dans la construction du récit. Un rythme primesautier amusant se fait sentir au long de la projection et de jolies trouvailles stylistiques jaillissent à divers moments. On a pourtant l'impression que l'auteure met une application trop marquée dans la création d'un air de fausse candeur qui se révèle artificiel. Sheila McCarthy s'impose avec une bouffonnerie sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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