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La Passerelle

Name: Passerelle, La
Director: Jean-Claude Sussfeld
Genre: Drame psychologique
Duration: 97 min.

Fr. 1987. Drame psychologique de Jean-Claude Sussfeld avec Pierre Arditi, Mathilda May, Guillaume Souchet. D'étranges rapports se nouent entre un célibataire et sa voisine, une jeune mère dont le fils a été victime d'un accident grave sur leur passerelle commune. Récit intimiste et anecdotique librement inspiré d'un roman de Richard Wright. Mise en scène sûre. Interprétation nuancée.

La Passerelle (La Passerelle)

Général

Fr. 1987. Drame psychologique de Jean-Claude Sussfeld avec Pierre Arditi, Mathilda May, Guillaume Souchet.

D'étranges rapports se nouent entre un célibataire et sa voisine, une jeune mère dont le fils a été victime d'un accident grave sur leur passerelle commune. Récit intimiste et anecdotique librement inspiré d'un roman de Richard Wright. Mise en scène sûre. Interprétation nuancée.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1987

Durée :

97 min.

Réalisation :

Jean-Claude Sussfeld

Scénario :

Paul Berthier
Jean-Claude Sussfeld
D'après le roman de Richard Wright

Photographie :

Robert Fraisse

Musique :

Hervé Lavandier

Montage :

Monique Prim

Pays :

France

Distributeur :

Cinépix

Interprètes :

Pierre Arditi
Mathilda May
Guillaume Souchet
Jany Holt
Aurelle Doazan
Jean-Marie Marion
Odette Barrois
Didier Benureau
Jean-Louis Cousseau
Mami Derrieux
Lucienne Legrand
Pierre Lefrançois
Muriel Robin

Jean Nevers cause involontairement la chute d'un bambin du haut de la passerelle qui longe son appartement. Il s'agit du fils d'une voisine, Cora, jeune femme d'une beauté provocante. Pendant que le petit Antoine repose dans le coma à l'hôpital, Jean, célibataire dans la quarantaine, se rapproche de Cora, tout en lui cachant sa part dans l'accident. Mais Cora se doute de quelque chose et fait en sorte de lui arracher des aveux. Elle se sent pourtant attirée par cet homme solitaire auquel Antoine s'était attaché.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après un premier film comique assez peu réussi, LE LÉOPARD, Jean-Claude Sussfeld retombe sur ses pieds avec ce drame intimiste librement inspiré d'un roman américain. À partir d'une intrigue de fait divers, il a su tisser entre les personnages des liens qui retiennent l'attention à travers des éléments de suspense et des ambiguïtés de comportement. L'anecdote reste assez mince, mais la mise en scène est sûre et les principaux interprètes explorent avec les nuances voulues les caractéristiques de leur rôle.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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