La Guerre à sept ans (Hope and Glory)

Name: Guerre à sept ans, La
Director: John Boorman
Genre: Chronique
Duration: 113 min.

G.-B. 1987. Chronique de John Boorman avec Sebastian Rice-Edwards, Sarah Miles, Sammi Davis. La vie d'un jeune garçon anglais durant la Seconde Guerre mondiale. Fresque historique dominée par la vision de l'enfant. Évocations poétiques et nostalgiques. Récit anecdotique. Mise en scène contrôlée. S. Miles excellente.

La Guerre à sept ans (Hope and Glory)

Général

G.-B. 1987. Chronique de John Boorman avec Sebastian Rice-Edwards, Sarah Miles, Sammi Davis.

La vie d'un jeune garçon anglais durant la Seconde Guerre mondiale. Fresque historique dominée par la vision de l'enfant. Évocations poétiques et nostalgiques. Récit anecdotique. Mise en scène contrôlée. S. Miles excellente.

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Genre :

Chronique

Année :

1987

Durée :

113 min.

Réalisation :

John Boorman

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Sebastian Rice-Edwards
Sarah Miles
Sammi Davis

Billy a neuf ans en 1939 lorsque l'Angleterre déclare la guerre à l'Allemagne. Malgré sa quarantaine avancée, son père court s'enrôler dans l'armée. Quand Londres est bombardée, Billy et ses amis trouvent de curieux terrains de jeu dans les maisons détruites. Le gamin est le témoin étonné des amours de sa soeur aînée Dawn avec un soldat canadien qui la met enceinte. Quand leur propre maison est atteinte par les bombes, Billy, sa mère et ses deux soeurs s'en vont séjourner chez leur grand-père maternel à la campagne. Dawn est rejointe par son soldat qui veut l'épouser.

L’AVIS DE MEDIAFILM

John Boorman avoue avoir puisé abondamment dans ses propres souvenirs pour composer cette fresque où domine la vision de l'enfance. Le petit garçon mis en scène assiste impassible ou excité aux curieuses activités des grandes personnes tout en poursuivant ses propres jeux malgré la guerre. Le tout est présenté avec un sens aigu de l'évocation poétique en même temps que nostalgique, un art contrôlé de la mise en scène et un joli savoir-faire dans la narration. Sarah Miles domine l'interprétation dans le rôle fort et discret de la mère.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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