L'Enfer de Clear River (Evil in Clear River)

Name: Enfer de Clear River, L'
Director: Karen Arthur
Genre: Drame social
Duration: 93 min.

É.-U. 1987. Drame social de Karen Arthur avec Lindsay Wagner, Randy Quaid, Thomas Wilson Brown. Une femme lutte contre le maire d'une petite ville d'Alberta qui enseigne aux jeunes que les Juifs sont responsables de nombreux maux de l'humanité. Téléfilm au récit inspiré de faits réels. Scénario intéressant. Réalisation légèrement artificielle. Interprétation valable.

L'Enfer de Clear River (Evil in Clear River)

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É.-U. 1987. Drame social de Karen Arthur avec Lindsay Wagner, Randy Quaid, Thomas Wilson Brown.

Une femme lutte contre le maire d'une petite ville d'Alberta qui enseigne aux jeunes que les Juifs sont responsables de nombreux maux de l'humanité. Téléfilm au récit inspiré de faits réels. Scénario intéressant. Réalisation légèrement artificielle. Interprétation valable.

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Genre :

Drame social

Année :

1987

Durée :

93 min.

Réalisation :

Karen Arthur

Pays :

États-Unis

Distributeur :

CinémaPlus

Interprètes :

Lindsay Wagner
Randy Quaid
Thomas Wilson Brown

Kate McKinnon, une Américaine qui a épousé un fermier d'Alberta, est toute surprise de découvrir que le professeur d'histoire de son fils adolescent enseigne à ses élèves des notions d'un antisémitisme virulent. Ledit enseignant, Pete Suvak, se trouve être en même temps instructeur sportif et maire de la ville; c'est donc un homme très populaire. Après avoir confronté en vain le dénommé Suvak, Kate entreprend de le faire destituer, mais elle reçoit peu d'appuis chez ses concitoyens. Elle va jusqu'à intenter une action en justice pour arriver à confondre Suvak.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intrigue de ce téléfilm distribué en vidéocassettes est une transposition fictive d'un incident survenu dans l'Ouest canadien il y a quelques années. On en a quelque peu simplifié les données pour des fins dramatiques mais l'essentiel du conflit s'y retrouve. Réalisé avec le contrôle voulu par une femme-cinéaste, le drame met bien en relief la différence à établir entre la liberté de parole et la diffusion de propos haineux. Lindsay Wagner joue intensément son rôle de mère indignée et Randy Quaid campe avec les nuances voulues un personnage complexe de raciste convaincu.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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