Kenny (The Kid Brother)

Name: Kenny
Director: Claude Gagnon
Genre: Drame psychologique
Duration: 95 min.

É.-U. 1987. Drame psychologique de Claude Gagnon avec Kenny Easterday, Caitlin Clarke, Liane Curtis. Privé de la moitié de son corps, un adolescent vit sa situation d'infirme avec un courage serein et une débrouillardise étonnante. Sujet d'un réalisme rude mais évitant l'apitoiement inutile. Mise en scène simple. Ensemble intéressant. Artifices dramatiques évidents. Interprétation vivante.

Kenny (The Kid Brother)

Général

É.-U. 1987. Drame psychologique de Claude Gagnon avec Kenny Easterday, Caitlin Clarke, Liane Curtis.

Privé de la moitié de son corps, un adolescent vit sa situation d'infirme avec un courage serein et une débrouillardise étonnante. Sujet d'un réalisme rude mais évitant l'apitoiement inutile. Mise en scène simple. Ensemble intéressant. Artifices dramatiques évidents. Interprétation vivante.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1987

Durée :

95 min.

Réalisation :

Claude Gagnon

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Aska

Interprètes :

Kenny Easterday
Caitlin Clarke
Liane Curtis

Privé de la moitié de son corps depuis un âge tendre, Kenny Easterday vit à treize ans sa situation d'infirme avec un courage serein et une débrouillardise étonnante. Quand une équipe de la télévision française fait un reportage sur lui, sa soeur aînée Sharon Kay, qui habite chez ses grands-parents, vient tenir devant la caméra son rôle d'amie attentive. Mais une fois les téléastes partis, elle ne peut plus supporter de rester dans le logement paternel. La détermination de Kenny à connaître les raisons de sa conduite risque de provoquer un drame.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Travaillant aux États-Unis pour des producteurs japonais, le cinéaste québécois Claude Gagnon a choisi d'aborder son sujet avec un réalisme rude en évitant l'apitoiement inutile. La mise en scène apparaît donc un peu fruste mais elle met clairement en valeur la simplicité et l'énergie de son jeune héros qui joue avec une intelligente vivacité son propre rôle à l'écran. L'auteur semble avoir voulu conjurer un certain malaise devant ce cas particulier par une présentation ironique de l'attitude des médias en de telles circonstances. L'ensemble ne manque pas d'intérêt en dépit d'artifices dramatiques un peu trop évidents vers la fin.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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