Hotel Starlight (Starlight Hotel)

Name: Hotel Starlight
Director: Sam Pillsbury
Genre: Drame social
Duration: 94 min.

N.-Z. 1987. Drame social de Sam Pillsbury avec Greer Robson, Peter Phelps, Marshall Napier. En tentant de rejoindre son père, une enfant fait la rencontre d'un vagabond avec lequel elle connait diverses mésaventures. Récit d'un certain charme. Mélange de réalisme et de romantisme. Paysages bien mis en valeur. Illustration aérée. Interprétation spontanée.

Hotel Starlight (Starlight Hotel)

Général

N.-Z. 1987. Drame social de Sam Pillsbury avec Greer Robson, Peter Phelps, Marshall Napier.

En tentant de rejoindre son père, une enfant fait la rencontre d'un vagabond avec lequel elle connait diverses mésaventures. Récit d'un certain charme. Mélange de réalisme et de romantisme. Paysages bien mis en valeur. Illustration aérée. Interprétation spontanée.

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Genre :

Drame social

Année :

1987

Durée :

94 min.

Réalisation :

Sam Pillsbury

Pays :

Nouvelle-Zélande

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Greer Robson
Peter Phelps
Marshall Napier

C'est pour retrouver son père que la jeune Kate Marshall a pris la route; confiée à une tante après la mort de sa mère, elle se sentait malheureuse. Il lui faut traverser une bonne partie du pays pour se rendre à Wellington où Dave Marshall cherche du travail en cette dure période des années 30. Kate voyage clandestinement à bord des trains. À l'occasion d'une étape, elle fait la rencontre d'un vagabond dans la trentaine, Patrick, qui la prend en charge. Patrick fuit la police après avoir violenté un huissier et cherche à rejoindre un port de mer afin de s'embarquer pour l'Australie. Les deux compagnons de fortune connaissent ensemble diverses mésaventures avant d'arriver à leur but respectif.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans être d'une originalité transcendante, ce récit de la randonnée d'un homme et d'une enfant dans le contexte des années 30 ne manque pas d'un certain charme. Les beautés rurales de la Nouvelle-Zélande sont bien mises en valeur dans une illustration aérée. On peut cependant être agacé par l'usage systématique de filtres dans la photographie, ce qui cause des ombres inutiles. Les problèmes de l'époque sont évoqués dans un mélange de réalisme et de romantisme avec quelques touches poétiques ou ironiques en prime. Greer Robson joue avec spontanéité et Peter Phelps lui est un partenaire solide.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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