Hector

Name: Hector
Director: Stijn Coninx
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 90 min.

Bel. 1987. Comédie de moeurs de Stijn Coninx avec Urbanus, Sylvia Millecam, Frank Aendenboom. Un innocent de trente ans qui a toujours vécu dans un orphelinat est invité à venir demeurer chez des parents pour travailler dans leur boulangerie. Construction manquant de rigueur. Gags nombreux. Passages assez réjouissants. Mise en scène modeste mais colorée. Interprétation dans la note.

Hector (Hector)

Général

Bel. 1987. Comédie de moeurs de Stijn Coninx avec Urbanus, Sylvia Millecam, Frank Aendenboom.

Un innocent de trente ans qui a toujours vécu dans un orphelinat est invité à venir demeurer chez des parents pour travailler dans leur boulangerie. Construction manquant de rigueur. Gags nombreux. Passages assez réjouissants. Mise en scène modeste mais colorée. Interprétation dans la note.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1987

Durée :

90 min.

Réalisation :

Stijn Coninx

Pays :

Belgique

Distributeur :

Crépuscule

Interprètes :

Urbanus
Sylvia Millecam
Frank Aendenboom

Le fils du boulanger d'un village des Flandres ambitionne de devenir champion cycliste. Mais son travail à la boulangerie sape ses forces et le prive de précieuses heures de pratique. Sa belle-mère a alors l'idée de faire venir un lointain cousin, Hector, un innocent de trente ans qui vit encore dans l'orphelinat où il a été élevé. Hector est tout heureux de connaître le monde extérieur et se montre plus futé qu'il ne paraît. Il aide sa parente, actrice frustrée, à satisfaire l'ambition de sa vie; attirer l'attention d'un cinéaste de Hollywood.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Conçu pour profiter de la popularité d'un comique flamand qui s'est fait connaître à la télévision, ce film n'est pas d'une construction rigoureuse non plus que d'une finesse subtile. On y multiplie pourtant les gags avec tant de bonne humeur que le spectateur résiste difficilement à sa puissance divertissante.La mise en scène est modeste mais suffisamment colorée. Si tout n'est pas du meilleur goût dans les facéties, divers passages se révèlent assez réjouissants. Urbanus retient l'attention par sa feinte naïveté et son exubérance.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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