Grace et Chuck (Amazing Grace and Chuck)

Name: Grace et Chuck
Director: Mike Newell
Genre: Comédie dramatique
Duration: 115 min.

É.-U. 1987. Comédie dramatique de Mike Newell avec Joshua Zuehlke, William Petersen, Gregory Peck. Un écolier renonce aux sports et fait voeu de silence en signe de protestation contre l'utilisation du nucléaire. Thème résolument utopiste. Argumentation gentiment sentimentale. Mise en scène assurée. Interprétation solide.

Grace et Chuck (Amazing Grace and Chuck)

Général

É.-U. 1987. Comédie dramatique de Mike Newell avec Joshua Zuehlke, William Petersen, Gregory Peck.

Un écolier renonce aux sports et fait voeu de silence en signe de protestation contre l'utilisation du nucléaire. Thème résolument utopiste. Argumentation gentiment sentimentale. Mise en scène assurée. Interprétation solide.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1987

Durée :

115 min.

Réalisation :

Mike Newell

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Joshua Zuehlke
William Petersen
Gregory Peck

Impressionné par la visite du silo de lancement d'un missile nucléaire, un écolier du Montana, Chuck, renonce à ce qu'il aime le plus, le baseball, en signe de protestation. L'incident est rapporté dans les journaux si bien qu'un basketteur professionnel de Boston, Amazing Grace Smith, décide de suivre son exemple. D'autres athlètes emboîtent le pas et le mouvement prend une telle ampleur que le président des États-Unis convoque le gamin à Washington. Chuck reste sur ses positions et fait même voeu de silence lorsque son nouvel ami meurt dans un accident d'avion provoqué par un industriel retors.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Résolument utopiste, ce conte moderne se présente avec une ingénuité proprement désarmante. A moins d'être un cynique invétéré, il est difficile de résister à une argumentation aussi gentiment sentimentale, illustrée par ailleurs avec un métier assuré. Mike Newell, auteur précédemment de drames amers, met ici un talent reconnu au service de la candeur et de l'optimisme sans penser déchoir. Pour une fois que le problème du désarmement est évoqué sans acrimonie, faudrait-il faire la fine bouche, d'autant que l'interprétation groupe dans un ensemble sympathique des comédiens solides et des amateurs de bonne volonté?

Texte : Robert-Claude Bérubé

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