Ernest et les joyeuses colonies (Ernest Goes to Camp)

Name: Ernest et les joyeuses colonies
Director: John Cherry
Genre: Comédie
Duration: 92 min.

É.-U. 1987. Comédie de John Cherry avec Jim Varney, Victoria Racimo, John Vernon. Un moniteur maladroit rallie ses campeurs dans un mouvement de résistance contre un riche promoteur qui veut s'emparer de leur colonie de vacances. Scénario décousu. Thème connu. Ensemble d'une certaine bonhomie. Gags amusants. Interprétation sympathique.

Ernest et les joyeuses colonies (Ernest Goes to Camp)

Général

É.-U. 1987. Comédie de John Cherry avec Jim Varney, Victoria Racimo, John Vernon.

Un moniteur maladroit rallie ses campeurs dans un mouvement de résistance contre un riche promoteur qui veut s'emparer de leur colonie de vacances. Scénario décousu. Thème connu. Ensemble d'une certaine bonhomie. Gags amusants. Interprétation sympathique.

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Genre :

Comédie

Année :

1987

Durée :

92 min.

Réalisation :

John Cherry

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Buena Vista

Interprètes :

Jim Varney
Victoria Racimo
John Vernon

Homme à tout faire dans une colonie de vacances, Ernest Worrell rêve de devenir moniteur. L'occasion lui en est donnée lorsque le directeur se voit forcé d'accepter parmi ses campeurs une demi-douzaine de jeunes délinquants. Chargé de ce petit groupe, Ernest multiplie les bévues mais gagne tout de même la sympathie des garçons. Pendant ce temps, un riche promoteur, Krader, cherche à s'emparer du terrain sur lequel se situe le camp et arrive à manoeuvrer le vieil Indien qui en est le propriétaire. Mis au courant de la situation, Ernest rallie ses campeurs dans un mouvement de résistance.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ernest Worrell est un personnage fictif qui a connu une certaine popularité aux Etats-Unis à travers de nombreux messages publicitaires où il se montre d'une outrecuidance désarmante. Transposé dans un film de long métrage, il ne fait pas vraiment le poids, malgré les efforts de son interprète Jim Varney, d'autant que les incidents nourrissant un scénario décousu ne sont pas d'une nouveauté transcendante. L'ensemble est pourtant mené avec une certaine bonhomie, divers gags amusants viennent épicer le plat à point nommé et l'interprétation se révèle à tout le moins sympathique. Si bien que le résultat est supportable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

COMMENTAIRES

18 juin 2020, 22:32:47

Par : Philippe Mathieu, Quebec

Vu naguère sur « Super Écran » et, par la suite, sur TQS à de multiples reprises, je me rappelle encore la fois où j'ai fait brûlé un sac de popcorn dans le micro-onde pendant que je matais les sempiternelles mêmes grimaces de Jim Varney sans trop me soucier de ce qui se passait à quelques mètres de moi. Merci la vie.

J'attribue à ce film la Cote

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