Engrenage fatal (Wisdom)

Name: Engrenage fatal
Director: Emilio Estevez
Genre: Drame de moeurs
Duration: 108 min.

É.-U. 1987. Drame de moeurs de Emilio Estevez avec Emilio Estevez, Demi Moore, William Allen. Poursuivi par la police pour vols de banques, un jeune criminel entraîne son amie dans une fuite à travers le pays. Scénario immature et simpliste. Mise en scène narcissique. Interprétation tout juste supportable.

Engrenage fatal (Wisdom)

13 ans +

É.-U. 1987. Drame de moeurs de Emilio Estevez avec Emilio Estevez, Demi Moore, William Allen.

Poursuivi par la police pour vols de banques, un jeune criminel entraîne son amie dans une fuite à travers le pays. Scénario immature et simpliste. Mise en scène narcissique. Interprétation tout juste supportable.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1987

Durée :

108 min.

Réalisation :

Emilio Estevez

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Emilio Estevez
Demi Moore
William Allen

Adolescent, John Wisdom a commis un délit qui lui a valu un casier judiciaire. Après diverses déconvenues, il décide de devenir criminel et de se spécialiser dans les hold-up de banques. Mais ses coups ont surtout pour but de détruire les documents d'hypothèques afin d'aider les gagne-petits engagés dans une situation financière pénible. Il entraîne son amie Karen dans cette aventure. Le couple fuit d'État en État entre deux exploits, poursuivi par la police. L'équipée prend fort mauvaise tournure quand les jeunes tuent un policier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

A la fois auteur, scénariste et réalisateur, Emilio Estevez devient, à vingt-trois ans, l'un des plus jeunes cinéastes à avoir conjugué autant de tâches pour un seul film. Malheureusement, le résultat n'est pas à la hauteur de telles ambitions et accuse un manque de maturité dans la conception et l'exécution. Cette histoire de Robin des Bois moderne apparaît souvent d'un simplisme navrant dans ses développements et d'un narcissisme agaçant dans sa mise en scène. De plus, une entourloupette finale vient enlever au sujet le peu de sérieux qu'il pouvait avoir en lui donnant l'allure d'une rêverie fantaisiste. L'interprétation est à tout le moins supportable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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