Eat the Rich

Name: Eat the Rich
Director: Peter Richardson
Genre: Comédie satirique
Duration: 89 min.

G.-B. 1987. Comédie satirique de Peter Richardson avec Lanah Pellay, Nosher Powell, Ronald Allen. Ayant pris par la force la direction du restaurant d'où il avait été chassé, un serveur attire l'attention d'un agent double soviétique et du ministre de l'Intérieur. Satire outrancière aux situations forcées. Quelques bons gags. Résultat échevelé. Interprètes amusés malgré la confusion ambiante.

Eat the Rich (Eat the Rich)

13 ans +

G.-B. 1987. Comédie satirique de Peter Richardson avec Lanah Pellay, Nosher Powell, Ronald Allen.

Ayant pris par la force la direction du restaurant d'où il avait été chassé, un serveur attire l'attention d'un agent double soviétique et du ministre de l'Intérieur. Satire outrancière aux situations forcées. Quelques bons gags. Résultat échevelé. Interprètes amusés malgré la confusion ambiante.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1987

Durée :

89 min.

Réalisation :

Peter Richardson

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Lanah Pellay
Nosher Powell
Ronald Allen

Ayant perdu son travail dans un restaurant chic de Londres, Alex se retrouve sans ressources. Un vagabond, Bob, l'aide à attaquer le bureau d'emploi en se servant d'une arme trouvée dans un manteau prêté par une terroriste. Celle-ci se trouvait au service d'un agent double chargé de ruiner la carrière du nouveau Ministre de l'Intérieur. Mais le politicien s'en tire en accentuant son allure machiste aux yeux du public. Après diverses tribulations, Alex prend le contrôle du restaurant et, pour diminuer ses frais, sert aux clients de la chair humaine. Mais le ministre veille et il a des raisons personnelles d'en vouloir à Alex.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur fait partie d'un groupe qui s'est fait connaître à la télévision par des émissions satiriques où l'outrance était de mise. Il continue dans le même style au cinéma en truffant son scénario d'une suite de situations forcées où l'on évite avec soin la délicatesse et la subtilité. Le résultat apparaît plutôt échevelé mais on y trouve quelques bons gags et les interprètes ont l'air de s'amuser en dépit de la confusion ambiante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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