Date with an Angel

Name: Date with an Angel
Director: Tom McLoughlin
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 105 min.

É.-U. 1987. Comédie fantaisiste de Tom McLoughlin avec Michael E. Knight, Emmanuelle Béart, Phoebe Cates. Chargé d'une mission sur la Terre, un ange blessé est secouru et hébergé par un jeune musicien. Intrigue exagérément ingénue. Plaisanteries de potaches. Réalisation fonctionnelle. Présence fort sympathique d'E. Béart.

Date with an Angel (Date with an Angel)

Général

É.-U. 1987. Comédie fantaisiste de Tom McLoughlin avec Michael E. Knight, Emmanuelle Béart, Phoebe Cates.

Chargé d'une mission sur la Terre, un ange blessé est secouru et hébergé par un jeune musicien. Intrigue exagérément ingénue. Plaisanteries de potaches. Réalisation fonctionnelle. Présence fort sympathique d'E. Béart.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1987

Durée :

105 min.

Réalisation :

Tom McLoughlin

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Michael E. Knight
Emmanuelle Béart
Phoebe Cates

Chargé d'une mission sur la Terre, un ange se brise une aile en frôlant un satellite. Il tombe, ou plutôt elle tombe dans la piscine d'un jeune musicien, Jim Sanders, qui s'apprête à épouser Patty Winston, fille d'un fabricant de cosmétiques. Jim soigne chez lui l'ange qui a l'apparence d'une fort belle jeune fille. Trois copains surprennent son secret et veulent faire fortune en profitant du passage de cet être surnaturel. Patty, pour sa part, a de la difficulté à accepter la présence de cette inconnue dans la maison de son fiancé. L'ange, par ailleurs, commence à prendre goût à cette vie nouvelle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Prenant au pied de la lettre les représentations iconographiques des anges, l'auteur a développé une intrigue exagérément ingénue, nourrie de plaisanteries de potaches. Le seul atout du film est la présence d'Emmanuelle Béart qui est vraiment d'une beauté angélique et qui confère à son personnage une aura fort sympathique. L'ensemble fait un peu trop penser à SPLASH, avec la seule différence qu'on a remplacé la sirène par un ange. Tout cela ne porte guère à conséquence, sauf que certains aspects religieux sont traités avec plus de sottise que de drôlerie.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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