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Confession criminelle (The Rosary Murders)

É.-U. 1987. Drame policier de Fred Walton avec Donald Sutherland, Charles Durning, Belinda Bauer. Bien que tenu par le secret de la confession, le prêtre tente d'empêcher un tueur en série de faire de nouvelles victimes. Suspense appréciable, riche en rebondissements saisissants. Quelques invraisemblances et stéréotypes ici et là. Description assez honnête du milieu clérical. Mise en scène plus appliquée qu'imaginative. Jeu retenu de D. Sutherland.

13 ans +
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Confession criminelle (The Rosary Murders)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1987. Drame policier de Fred Walton avec Donald Sutherland, Charles Durning, Belinda Bauer.

Bien que tenu par le secret de la confession, le prêtre tente d'empêcher un tueur en série de faire de nouvelles victimes. Suspense appréciable, riche en rebondissements saisissants. Quelques invraisemblances et stéréotypes ici et là. Description assez honnête du milieu clérical. Mise en scène plus appliquée qu'imaginative. Jeu retenu de D. Sutherland.

La ville de Détroit est en émoi. Depuis quelque temps, un psychopathe assassine des gens d'Église en signant ses crimes par un chapelet noir déposé sur les cadavres. Le père Koesler cherche à aider la police mais le meurtrier vient se confesser à lui. Tenu par le secret de la confession, le prêtre tente de remédier à cette situation intenable en perçant la tactique utilisée par le tueur et en prévenant par la même occasion ses futurs méfaits. Le maniaque semble pourtant décidé à assouvir une vieille vengeance qui remonte au suicide de sa fille.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien que reprenant une thématique déjà connue dans une conception finalement assez traditionnelle, ce thriller parvient à faire preuve d'un sens du suspense appréciable, comme en témoignent plusieurs rebondissements saisissants. Les quelques invraisemblances et stéréotypes qui encombrent le scénario n'empêchent pas une description plutôt honnête d'un milieu clérical américain. L'atmosphère particulière des édifices religieux et le contraste entre deux comportements sacerdotaux opposés sont relativement bien rendus par une mise en scène conduite avec malgré tout plus d'application que d'imagination. Donald Sutherland impose sa présence par son jeu retenu qu'il teinte toujours d'une légère ironie.

Texte : Christian Depoorter

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