Six Hommes pour sauver Harry (Let's Get Harry)

Name: Six Hommes pour sauver Harry
Director: Alan Smithee
Genre: Aventures
Duration: 105 min.

É.-U. 1986. Aventures de Alan Smithee avec Mark Harmon, Robert Duvall, Michael Schoeffling. Le frère d'un ouvrier enlevé par des terroristes en Colombie organise une expédition de secours. Conception peu subtile. Un certain allant dans les scènes d'action. Interprétation acceptable.

Six Hommes pour sauver Harry (Let's Get Harry)

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É.-U. 1986. Aventures de Alan Smithee avec Mark Harmon, Robert Duvall, Michael Schoeffling.

Le frère d'un ouvrier enlevé par des terroristes en Colombie organise une expédition de secours. Conception peu subtile. Un certain allant dans les scènes d'action. Interprétation acceptable.

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Genre :

Aventures

Année :

1986

Durée :

105 min.

Réalisation :

Alan Smithee

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Mark Harmon
Robert Duvall
Michael Schoeffling

Harry, un ouvrier américain qui travaille à la construction d'une digue en Colombie, est enlevé par des terroristes en même temps qu'un diplomate. Devant la lenteur des négociations pour obtenir sa libération, son frère Corey décide d'organiser lui-même, avec trois compagnons de travail, une expédition de secours. Le petit groupe engage un mercenaire, vétéran du Vietnam, pour lui servir de mentor et un marchand de voitures accepte de financer l'aventure à condition d'y participer. Les six compagnons s'envolent clandestinement vers la Colombie et connaissent de dures épreuves avant de parvenir à leur but.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Quand on voit le nom d'Alan Smithee au générique d'un film, c'est habituellement mauvais signe; il s'agit là en effet du pseudonyme qu'utilisent les producteurs d'Hollywood lorsqu'un réalisateur refuse de signer son travail; en l'occurrence il s'agit de Stuart Rosenberg. Tourné au Mexique, le film ne brille pas par la subtilité dans sa conception non plus que par le fignolage dans l'exécution. La présence de Robert Duvall confère un certain impact à quelques passages et les scènes d'action ne manquent pas d'allant, mais l'ensemble n'emporte guère l'adhésion. L'interprétation se révèle pourtant acceptable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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