Psychose III (Psycho III)

Name: Psychose III
Director: Anthony Perkins
Genre: Drame policier
Duration: 93 min.

É.-U. 1986. Drame policier de Anthony Perkins avec Anthony Perkins, Diana Scarwid, Roberta Maxwell. Après avoir été incarcéré pendant vingt ans, un homme rouvre un motel et croit reconnaître, dans sa première cliente, une de ses victimes d'autrefois. Variation sur un thème psychologico-policier d'A. Hitchcock. Développements peu originaux. Réalisation appliquée. Interprétation assurée.

Psychose III (Psycho III)

13 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1986. Drame policier de Anthony Perkins avec Anthony Perkins, Diana Scarwid, Roberta Maxwell.

Après avoir été incarcéré pendant vingt ans, un homme rouvre un motel et croit reconnaître, dans sa première cliente, une de ses victimes d'autrefois. Variation sur un thème psychologico-policier d'A. Hitchcock. Développements peu originaux. Réalisation appliquée. Interprétation assurée.

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Genre :

Drame policier

Année :

1986

Durée :

93 min.

Réalisation :

Anthony Perkins

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Anthony Perkins
Diana Scarwid
Roberta Maxwell

Après plus de vingt ans passés dans une institution pour fous criminels, Norman Bates a été relâché. Il a repris en main la gérance d'un motel situé près de la vieille maison où il habite seul. Il engage un jeune homme, Duane, pour s'occuper de l'entretien des chambres. La première cliente est Maureen, une religieuse qui a fui son couvent à la suite de troubles émotionnels. Norman croit reconnaître en elle Marlon, une de ses victimes d'autrefois. Bientôt de nouveaux meurtres se produisent au motel.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour ses débuts à la réalisation d'un film, l'acteur Anthony Perkins a choisi un territoire familier en dirigeant de nouvelles variations sur un thème psychologico-policier mis au point par Alfred Hitchcock. Le scénario n'apporte rien de bien neuf et se contente de recycler certains effets de l'original avec une dose d'humour noir un peu plus prononcée. À cela s'ajoutent des angoisses pseudo-religieuses d'un goût douteux qui permettent d'évoquer en ouverture un autre film du maître, VERTIGO. La mise en scène apparaît plus appliquée qu'efficace, mais Perkins reprend toutefois avec sûreté son personnage de déséquilibré.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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