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Académie de police 3: Instructeurs de choc (Police Academy 3: Back in Training)

É.-U. 1986. Comédie de Jerry Paris avec Steve Guttenberg, Art Metrano, George Gaynes. Un comité doit juger laquelle des deux écoles de police d'un État américain restera ouverte en examinant l'instruction et le rendement de leurs cadets. Scénario mince et décousu prétexte à plaisanteries laborieuses. Réalisation manquant d'inspiration. Interprétation à l'avenant.

Général
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Académie de police 3: Instructeurs de choc (Police Academy 3: Back in Training)

Général Général

É.-U. 1986. Comédie de Jerry Paris avec Steve Guttenberg, Art Metrano, George Gaynes.

Un comité doit juger laquelle des deux écoles de police d'un État américain restera ouverte en examinant l'instruction et le rendement de leurs cadets. Scénario mince et décousu prétexte à plaisanteries laborieuses. Réalisation manquant d'inspiration. Interprétation à l'avenant.

Genre :
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Le gouverneur d'un État américain a décidé de réduire les dépenses en supprimant l'une des deux écoles de police qui sont installées dans sa capitale. Un comité indépendant doit juger laquelle des deux restera ouverte en examinant l'instruction et le rendement des cadets de l'année courante. Le commandant Lassard, qui dirige l'Académie de police, fait appel à quelques-uns de ses anciens élèves pour en faire des instructeurs. Le commandant Mauser, directeur de l'institution concurrente, a recours pour sa part à des tactiques déloyales. En fin de compte, un affrontement impromptu avec des criminels détermine l'école gagnante.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce troisième épisode d'une série populaire reprend sans grande invention la formule du premier: on réunit un échantillonnage d'excentriques comme aspirants policiers, on leur oppose des instructeurs tout aussi farfelus et l'on sème les gags à foison. Le malheur c'est que le résultat n'est pas vraiment drôle malgré l'énergie dépensée dans quelques scènes. Le scénario, mince et décousu, n'apparaît guère que comme un prétexte à l'accumulation de plaisanteries laborieuses, grotesques et le plus souvent ratées. Tout cela manque de véritable inspiration comique et la réalisation est le plus souvent à la remorque des interprètes qui cabotinent à loisir.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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