Noir et blanc

Name: Noir et blanc
Director: Claire Devers
Genre: Drame psychologique
Duration: 84 min.

Fr. 1986. Drame psychologique de Claire Devers avec Francis Frappat, Jacques Martial, Joséphine Fresson. Un comptable entretient une étrange relation sadomasochiste avec un masseur de race noire. Récit inspiré librement d'une nouvelle de Tennessee Williams. Sens subtil du pouvoir de suggestion de l'image. Style retenu et distancié. Interprétation sobre et intense.

Noir et blanc (Noir et blanc)

13 ans +

Fr. 1986. Drame psychologique de Claire Devers avec Francis Frappat, Jacques Martial, Joséphine Fresson.

Un comptable entretient une étrange relation sadomasochiste avec un masseur de race noire. Récit inspiré librement d'une nouvelle de Tennessee Williams. Sens subtil du pouvoir de suggestion de l'image. Style retenu et distancié. Interprétation sobre et intense.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1986

Durée :

84 min.

Réalisation :

Claire Devers

Scénario :

Claire Devers
D'après le roman de Tennessee Williams

Photographie :

Daniel Desbois

Montage :

Yves Sarda
Fabienne Alvarez-Giro

Pays :

France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Francis Frappat
Jacques Martial
Joséphine Fresson
Claire Rigollier
Marc Berman
Benoît Régent
Isaach de Bankolé
Catherine Belkhodja
Christophe Galland

Récompenses

En tant que comptable au service d'un bureau d'expertise, Antoine vient vérifier les livres d'un centre de conditionnement physique. Le directeur de l'établissement, M. Roland, lui propose les services occasionnels d'un masseur de race noire, Dominique. D'abord mal à l'aise, Antoine en vient à prendre plaisir aux soins plutôt rudes de Dominique. Celui-ci pousse un peu loin ses procédés et en vient à casser un bras à Antoine. Soigné à l'hôpital, Antoine suit pourtant Dominique qui veut pousser plus loin une étrange relation sado-masochiste.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant librement d'une nouvelle de Tennessee Williams, Claire Devers a réalisé ce premier long métrage comme travail de fin d'études à l'I.D.H.E.C. Elle y démontre un sens subtil du pouvoir de suggestion de l'image, réussissant à évoquer des violences outrées sans jamais les montrer. Elle peint ainsi la progression d'un déséquilibre obsessionnel jusqu'à ses limites extrêmes dans un style retenu, froid et distancié. La mise en scène est bien contrôlée dans une suite d'images en noir et blanc. L'interprétation est à la fois sobre et intense.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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