Les Chemins de la gloire (Streets of Gold)

Name: Chemins de la gloire, Les
Director: Joe Roth
Genre: Drame sportif
Duration: 92 min.

É.-U. 1986. Drame sportif de Joe Roth avec Klaus Maria Brandauer, Adrian Pasdar, Wesley Snipes. Aux États-Unis, un ex-champion de boxe amateur russe entraine deux jeunes pugilistes en vue d'une importante compétition. Thème connu. Récit lourd et prévisible. Développement parfois laborieux. Interprétation de valeur.

Les Chemins de la gloire (Streets of Gold)

Général

É.-U. 1986. Drame sportif de Joe Roth avec Klaus Maria Brandauer, Adrian Pasdar, Wesley Snipes.

Aux États-Unis, un ex-champion de boxe amateur russe entraine deux jeunes pugilistes en vue d'une importante compétition. Thème connu. Récit lourd et prévisible. Développement parfois laborieux. Interprétation de valeur.

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Genre :

Drame sportif

Année :

1986

Durée :

92 min.

Réalisation :

Joe Roth

Scénario :

Heywood Gould

Photographie :

Arthur Albert

Musique :

Jack Nitzsche

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Klaus Maria Brandauer
Adrian Pasdar
Wesley Snipes

Champion de boxe amateur en Union soviétique, Alek Neuman n'a pas pu participer aux Jeux Olympiques parce qu'il était juif. Il vit maintenant une existence de déclassé en Amérique. Un soir de beuverie, il s'aventure dans un entrepôt où se tiennent des matches de boxe clandestins. Il remarque le talent naturel d'un jeune pugiliste, Roland Jenkins. Un autre combattant, Timmy Boyle, demande à Alek de lui servir d'entraîneur et le Russe accepte, espérant ainsi attirer Roland, ce qui arrive. Après avoir enseigné à ses protégés les trucs du métier, Alek les inscrit à une rencontre sportive où des Russes doivent affronter des Américains.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Un critique américain a écrit que ce film lui faisait penser à un amalgame entre ROCKY et MOSCOW ON THE HUDSON et il n'a pas tort. Ce qui manque cependant au film, c'est l'énergie du premier modèle et l'humour du second. Le récit progresse lourdement sur des sentiers battus vers une solution prévisible, en dépit des faux obstacles semés en chemin. Le réalisme recherché dans l'approche apparaît quelque peu appliqué et le développement est parfois laborieux. L'interprétation ne manque pas de valeur ni de conviction; le jeu de Klaus Maria Brandauer se révèle même nettement supérieur aux nécessités de ce film sympathique mais mineur.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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