Le Temple d'or (Firewalker)

Name: Temple d'or, Le
Director: Jack Lee-Thompson
Genre: Aventures
Duration: 106 min.

É.-U. 1986. Aventures de Jack Lee-Thompson avec Chuck Norris, Louis Gossett Jr., Melody Anderson. Deux aventuriers s'engagent avec une jeune femme dans un voyage périlleux à la recherche d'un trésor aztèque. Variations sur un thème connu. Humour manquant de naturel. Mise en scène impersonnelle. Interprétation peu convaincante.

Le Temple d'or (Firewalker)

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É.-U. 1986. Aventures de Jack Lee-Thompson avec Chuck Norris, Louis Gossett Jr., Melody Anderson.

Deux aventuriers s'engagent avec une jeune femme dans un voyage périlleux à la recherche d'un trésor aztèque. Variations sur un thème connu. Humour manquant de naturel. Mise en scène impersonnelle. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Aventures

Année :

1986

Durée :

106 min.

Réalisation :

Jack Lee-Thompson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Chuck Norris
Louis Gossett Jr.
Melody Anderson

Max et Leo, deux aventuriers qui bourlinguent en équipe, sont approchés dans un bar du Mexique par une jeune femme, Patricia, qui prétend posséder la clé d'un trésor aztèque. Le trio s'engage dans un voyage périlleux vers une région éloignée où doivent se situer les ruines d'un ancien temple. Les tribulations se succèdent sur leur passage, d'autant qu'ils sont suivis à la trace par un redoutable adversaire surnommé El Coyote. Leo disparaît au cours d'une étape en pleine brousse, mais Max et Patricia finissent par découvrir le temple où ils trouvent leur partenaire prisonnier d'El Coyote.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Devenu vedette grâce à ses talents d'athlète spécialisé en arts martiaux, Chuck Norris entreprend cette fois de modifier un peu son image en s'engageant avec entrain sur les traces d'Indiana Jones dans la jungle des aventures exotiques. L'humour et la désinvolture ne lui semblent pourtant pas naturels et ses efforts dans ce sens n'ont guère de succès. Le réalisateur remplit son contrat en illustrant ces équipées rocambolesques dans le style impersonnel de son récent remake de KING SOLOMON'S MINES. Rien debout cela n'apparaît convaincant, ni sur le plan de la réalisation, ni sur celui de l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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