Remarquable

Le Sixième Jour (Al Yom el sadess)

Name: Sixième Jour, Le
Director: Youssef Chahine
Genre: Mélodrame
Duration: 107 min.

Fr. 1986. Mélodrame de Youssef Chahine avec Dalida, Mohsen Mohieddine, Ibrahim Maher. Au Caire, en 1947, une femme cherche à sauver son enfant d'une épidémie de choléra. Adaptation soignée du roman d'Andrée Chédid. Sujet émouvant et bien rendu. Mise en scène soignée et colorée. Jeu sobre de Dalida.

Le Sixième Jour (Al Yom el sadess)

Général

Fr. 1986. Mélodrame de Youssef Chahine avec Dalida, Mohsen Mohieddine, Ibrahim Maher.

Au Caire, en 1947, une femme cherche à sauver son enfant d'une épidémie de choléra. Adaptation soignée du roman d'Andrée Chédid. Sujet émouvant et bien rendu. Mise en scène soignée et colorée. Jeu sobre de Dalida.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1986

Durée :

107 min.

Réalisation :

Youssef Chahine

Scénario :

Youssef Chahine
D'après le roman de Andrée Chedid

Photographie :

Mohsen Nasr

Musique :

Omar Khairat

Montage :

Luc Barnier

Pays :

France
Égypte

Distributeur :

Karim

Interprètes :

Dalida
Mohsen Mohieddine
Ibrahim Maher
Chewikar
Ahmed Hamidy
Salah El-Saadany
Mohamed Mounir
Youssef Chahine
Zaki Abdel Wahab

Au Caire, en 1947, un baladin des faubourgs, Okka, s'intéresse à Saddika, une femme dans la quarantaine, qui vit pauvrement avec un mari paralysé et un petit-fils orphelin, Hassan. Une épidémie de choléra sévit dans la ville et des ambulanciers ont vite fait d'emporter les malades signalés vers de lointains mouroirs. Quand Hassan se révèle atteint, Saddika le cache puis obtient passage avec lui sur une felouque en direction de la mer, en espérant la possible rémission du sixième jour. Okka se joint aux voyageurs et s'efforce de se rendre utile à la pathétique Saddika.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après quelques projets ambitieux tel ADIEU BONAPARTE, Youssef Chahine revient ici à la tradition populaire du cinéma égyptien, qu'il s'efforce même de défendre au passage, tout en faisant montre d'un net souci de style. Des numéros musicaux parfois incongrus viennent s'inscrire dans la trame du récit, sans trop distraire l'attention d'un sujet émouvant et bien rendu. La mise en scène ne manque ni de soin ni de couleur. De retour dans son pays natal, la chanteuse Dalida campe son rôle avec une belle réserve dramatique curieusement contrebalancée par le jeu exubérant de Mohsen Mohieddine.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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