Le Feu de la passion (Fire with Fire)

Name: Feu de la passion, Le
Director: Duncan Gibbins
Genre: Drame sentimental
Duration: 104 min.

É.-U. 1986. Drame sentimental de Duncan Gibbins avec Virginia Madsen, Craig Sheffer, Jon Polito. Pour revoir à nouveau un jeune détenu, une étudiante organise une fête où sont invités les garçons d'un camp de réhabilitation proche de son collège. Version contemporaine de "Roméo et Juliette". Nombreuses invraisemblances et incongruités. Réalisation superficielle. Interprétation peu convaincante.

Le Feu de la passion (Fire with Fire)

Général

É.-U. 1986. Drame sentimental de Duncan Gibbins avec Virginia Madsen, Craig Sheffer, Jon Polito.

Pour revoir à nouveau un jeune détenu, une étudiante organise une fête où sont invités les garçons d'un camp de réhabilitation proche de son collège. Version contemporaine de "Roméo et Juliette". Nombreuses invraisemblances et incongruités. Réalisation superficielle. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

1986

Durée :

104 min.

Réalisation :

Duncan Gibbins

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Virginia Madsen
Craig Sheffer
Jon Polito

Lisa Taylor est pensionnaire dans une institution religieuse isolée dans une région montagneuse. À quelques kilomètres de là se trouve un camp de réhabilitation pour adolescents délinquants. Au cours d'une promenade en forêt, Lisa croise le regard de Joe Fisk, un jeune détenu. Pour le rencontrer à nouveau, elle propose que le couvent organise une danse où seraient invités les garçons du camp. Lisa et Joe ont l'occasion d'échanger quelques aveux au cours de la fête. Ils se retrouvent par la suite clandestinement puis décident de s'enfuir ensemble.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette version contemporaine de Roméo et Juliette aurait pu être valable si on ne l'avait truffée d'invraisemblances et d'incongruités. On caricature à loisir les personnages en autorité pour rendre plus poignant le drame vécu par les protagonistes, mais cette tendance ne fait que rendre l'histoire plus difficile à accepter. Le réalisateur, qui a fait ses classes dans les vidéo-clips, ne s'arrête qu'à la surface des choses. Le résultat d'ensemble ne peut apparaître qu'artificiel en dépit d'efforts appréciables sur le plan technique. Les comédiens n'arrivent pas à rendre les personnages convaincants.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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