Remarquable

Le Dernier Havre

Name: Dernier Havre, Le
Director: Denyse Benoît
Genre: Drame psychologique
Duration: 81 min.

Can. 1986. Drame psychologique de Denyse Benoît avec Paul Hébert, Louisette Dussault, Claude Gauthier. Un vieux pêcheur à la retraite remet en état une barque abandonnée dans l'espoir de prendre une dernière fois la mer. Intrigue assez mince. Traitement réaliste et poétique. Réalisation valable. Jeu sobre et précis de P. Hébert.

Le Dernier Havre (Le Dernier Havre)

Général

Can. 1986. Drame psychologique de Denyse Benoît avec Paul Hébert, Louisette Dussault, Claude Gauthier.

Un vieux pêcheur à la retraite remet en état une barque abandonnée dans l'espoir de prendre une dernière fois la mer. Intrigue assez mince. Traitement réaliste et poétique. Réalisation valable. Jeu sobre et précis de P. Hébert.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1986

Durée :

81 min.

Réalisation :

Denyse Benoît

Scénario :

Denyse Benoît
D'après le roman de Yves Thériault

Photographie :

Robert Vanherweghem

Musique :

Alain Payette

Montage :

François Dupuis

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Prima Film

Producteurs :

Marc Daigle

Interprètes :

Paul Hébert
Louisette Dussault
Claude Gauthier
Jean-Louis Millette
Jean-Guy Moreau
Robert Rivard
Chloé Sainte-Marie

Le vieil Aldéi a été pêcheur depuis son enfance alors que l'amour de la mer l'a saisi. Mais, à la suite d'une maladie, il a dû prendre sa retraite, d'autant que son fils Paul a vendu son bateau. Un jour, en se promenant le long d'une falaise, il aperçoit sur la grève une barque abandonnée. En cachette de ses proches, il entreprend de la remettre en état, se faisant aider à l'occasion par quelques amis de rencontre. Le jour vient où l'esquif radoubé peut prendre la mer et le vieil Aldéi s'engage dans son dernier voyage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intrigue apparaît un peu mince pour un long métrage, mais l'auteur a compensé par un traitement à la fois réaliste et poétique où il y a place pour le rêve. Divers retours en arrière et quelques images mentales viennent d'ailleurs étoffer le récit en évoquant les songeries du héros. Le jeu sobre et précis de Paul Hébert contribue grandement à rendre attachant le personnage central. Même si certains éléments apparaissent schématiques, le film s'avère intéressant et l'illustration profite de beaux paysages de bord de mer. Malgré quelques indices semés au long du développement, la conclusion apparaît un peu brusquée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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