Remarquable

L'Été en pente douce

Name: Été en pente douce, L'
Director: Gérard Krawczyk
Genre: Drame de moeurs
Duration: 102 min.

Fr. 1986. Drame de moeurs de Gérard Krawczyk avec Jean-Pierre Bacri, Jacques Villeret, Pauline Lafont. Malgré la convoitise des voisins, un homme décide de s'installer avec sa compagne dans la maison familiale où vit son frère demeuré. Transposition française de romans naturalistes américains. Mise en scène adroite. Ensemble quelque peu factice. Personnages peu nuancés. Comédiens de talent.

L'Été en pente douce (L'Été en pente douce)

13 ans +

Fr. 1986. Drame de moeurs de Gérard Krawczyk avec Jean-Pierre Bacri, Jacques Villeret, Pauline Lafont.

Malgré la convoitise des voisins, un homme décide de s'installer avec sa compagne dans la maison familiale où vit son frère demeuré. Transposition française de romans naturalistes américains. Mise en scène adroite. Ensemble quelque peu factice. Personnages peu nuancés. Comédiens de talent.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1986

Durée :

102 min.

Réalisation :

Gérard Krawczyk

Scénario :

Gérard Krawczyk
Jean-Paul Lilienfeld
D'après le roman de Pierre Pelot

Photographie :

Michel Cénet

Musique :

Roland Vincent

Montage :

Marie-Josèphe Yoyotte

Pays :

France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Jean-Pierre Bacri
Jacques Villeret
Pauline Lafont
Guy Marchand
Jean Bouise
Jean-Paul Lilienfeld
Jacques Mathou
Dominique Besnehard
Claude Chabrol
Patrick Braoudé
Laurent Gendron

Fane intervient pour protéger une jeune femme, Lilas, battue par un voisin qui règle l'affaire en lui faisant cadeau de sa compagne. Il retourne à la campagne en compagnie de cette Lilas à la beauté provocante et prend possession de la maison familiale où vit son frère demeuré, Mo. La propriété est convoitée par un voisin garagiste, Voke, qui fait de l'oeil à Lilas. Mais la jeune femme ne veut pas tromper Fane tout en se montrant exagérément gentille envers Mo. Après diverses avanies, Fane quitte le village avec Mo et Lilas.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après s'être fait connaître avec un sujet situé aux EÉtats-Unis, JE HAIS LES ACTEURS, Gérard Krawczyk semble avoir voulu reproduire en France certains éléments de romans naturalistes américains. La greffe n'est pas particulièrement réussie et il faut un tour d'esprit particulier pour accepter cette plongée dans une conception sociologique d'une vulgarité complaisante. Même si la mise en scène est assez adroite, le résultat n'en apparaît pas moins fabriqué et factice. Les comédiens campent avec un certain talent des personnages peu nuancés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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