L'Enfant sacré du Tibet (The Golden Child)

Name: Enfant sacré du Tibet, L'
Director: Michael Ritchie
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 94 min.

É.-U. 1986. Comédie fantaisiste de Michael Ritchie avec Eddie Murphy, Charlotte Lewis, Charles Dance. Un travailleur social américain est chargé de veiller sur un jeune lama tibétain menacé par des forces occultes. Histoire artificielle et invraisemblable. Un certain humour dans le traitement. Mise en scène appliquée. Jeu détaché d'E. Murphy.

L'Enfant sacré du Tibet (The Golden Child)

Général

É.-U. 1986. Comédie fantaisiste de Michael Ritchie avec Eddie Murphy, Charlotte Lewis, Charles Dance.

Un travailleur social américain est chargé de veiller sur un jeune lama tibétain menacé par des forces occultes. Histoire artificielle et invraisemblable. Un certain humour dans le traitement. Mise en scène appliquée. Jeu détaché d'E. Murphy.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1986

Durée :

94 min.

Réalisation :

Michael Ritchie

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Eddie Murphy
Charlotte Lewis
Charles Dance

Un travailleur social de Los Angeles, Chandler, se spécialise dans la recherche d'enfants disparus. Une jeune Orientale, Kee Nang, l'engage dans la quête entreprise pour retrouver un jeune lama tibétain enlevé par un certain Sardo qui le retient prisonnier aux États-Unis. Déconcerté par les aspects mystiques de l'entreprise, Chandler se met pourtant au travail, assisté par Kee Nang. Il lui faut surmonter diverses épreuves avant de retrouver l'enfant kidnappé et il doit affronter Sardo, qui semble être la personnification des forces du mal, dans une lutte à finir.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour profiter de la popularité du comédien noir Eddie Murphy, on a déniché ce scénario abracadabrant encombré d'un faux mysticisme et de phénomènes surnaturels à la gomme. Le réalisateur Michael Ritchie, plus à l'aise dans la satire de moeurs, dépense une énergie appréciable pour donner un semblant de substance à une histoire artificielle et invraisemblable. Un certain humour persifleur se fait sentir dans le traitement de divers passages, mais l'ensemble taxe fortement la crédulité des spectateurs. Murphy traverse le film comme s'il était un visiteur amusé dans une exposition d'extravagances et joue surtout pour la galerie.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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