Eye of the Tiger

Name: Eye of the Tiger
Director: Richard C. Sarafian
Genre: Drame policier
Duration: 90 min.

É.-U. 1986. Drame policier de Richard C. Sarafian avec Gary Busey, Yaphet Kotto, Seymour Cassel. Un homme qui vient de sortir de prison s'attaque à une bande de motards pour venger la mort de sa femme. Scénario prétexte à scènes violentes. Situations invraisemblables. Traitement simpliste. Interprétation manquant fortement de nuances.

Eye of the Tiger (Eye of the Tiger)

13 ans + (violence)

É.-U. 1986. Drame policier de Richard C. Sarafian avec Gary Busey, Yaphet Kotto, Seymour Cassel.

Un homme qui vient de sortir de prison s'attaque à une bande de motards pour venger la mort de sa femme. Scénario prétexte à scènes violentes. Situations invraisemblables. Traitement simpliste. Interprétation manquant fortement de nuances.

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Genre :

Drame policier

Année :

1986

Durée :

90 min.

Réalisation :

Richard C. Sarafian

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Vidéo Vision

Interprètes :

Gary Busey
Yaphet Kotto
Seymour Cassel

Après avoir fait de la prison pour avoir tué un homme, Buck Matthews rentre chez lui. Le shérif de la région est son ennemi juré et il se déclare prêt à l'arrêter pour la moindre peccadille. Buck a vite maille à partir avec quelques motards qu'il a empêchés de violer une infirmière. Les voyous attaquent sa maison, tuent sa femme et laissent sa fillette dans un état de stupeur. Devant l'inertie du shérif, Buck décide d'agir. Il attaque la base des criminels avec l'aide d'un ami policier et affronte leur chef dans un combat singulier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voici un autre de ces films violents sur un thème désigné aux Etats-Unis sous le vocable de "vigilantism". II s'agit de la prise en mains par des citoyens de la lutte contre le crime devant l'inaction des institutions civiles. Ici l'accent est mis sur l'action sans se préoccuper ni des motivations des personnages ni de la vraisemblance des situations. Tout cela apparaît des plus simplistes et l'on regrette qu'un cinéaste d'une certaine valeur ait prêté son nom à une telle parodie de sentiments civiques. L'interprétation manque fortement de nuances.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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