Duo pour une soliste (Duet for One)

Name: Duo pour une soliste
Director: Andreï Kontchalovski
Genre: Drame psychologique
Duration: 107 min.

G.-B. 1986. Drame psychologique de Andreï Kontchalovski avec Julie Andrews, Alan Bates, Max von Sydow. Craignant la fin de sa carrière, une violoniste réputée qui est atteinte de sclérose en plaques se confie à un psychiatre. Adaptation libre de la pièce de Tom Kempinski. Sujet intéressant. Mise en scène cohérente. Solide interprétation de J. Andrews.

Duo pour une soliste (Duet for One)

Général

G.-B. 1986. Drame psychologique de Andreï Kontchalovski avec Julie Andrews, Alan Bates, Max von Sydow.

Craignant la fin de sa carrière, une violoniste réputée qui est atteinte de sclérose en plaques se confie à un psychiatre. Adaptation libre de la pièce de Tom Kempinski. Sujet intéressant. Mise en scène cohérente. Solide interprétation de J. Andrews.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1986

Durée :

107 min.

Réalisation :

Andreï Kontchalovski

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Julie Andrews
Alan Bates
Max von Sydow

Une violoniste réputée, Stephanie Anderson, se confie à un psychiatre, le docteur Louis Feldman. Atteinte de sclérose en plaques, elle craint que la maladie ne mette soudain fin à sa carrière. Son entourage ne lui est pas d'une grande aide dans cette situation. Son mari, David, compositeur de musique atonale, souffre d'insécurité et a une liaison avec sa secrétaire. En l'absence de David, partie l'étranger, Stephanie tente de se suicider. Avec l'aide du docteur Feldman, elle finit pourtant par atteindre à une certaine sérénité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La pièce de Kempinski ne comptait que deux personnages, la patiente et le psychiatre, ce qui justifiait son titre. La multiplication des personnages pour les besoins du film donne à celui-ci l'allure d'un morceau d'orchestre avec surcharge de solistes. Le sujet est assez intéressant mais il puise surtout sa force dans l'interprétation solide et nuancée de Julie Andrews qui confère une forte présence à son personnage. Malgré un danger de dispersion, les développements se tiennent, mais la conclusion, confite dans un symbolisme artificiel, est quelque peu décevante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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