Champagne amer

Name: Champagne amer
Director: Ridha Behi
Genre: Drame psychologique
Duration: 86 min.

Fr. 1986. Drame psychologique de Ridha Behi avec Julie Christie, Ben Gazzara, Patrick Bruel. Le fils d'une paysanne tunisienne retrouve dans la capitale son père français qui ne l'a jamais reconnu. Récit teinté de contestation politique. Aspects intéressants. Tension mal soutenue. Interprétation peu convaincante.

Champagne amer (Champagne amer)

Général

Fr. 1986. Drame psychologique de Ridha Behi avec Julie Christie, Ben Gazzara, Patrick Bruel.

Le fils d'une paysanne tunisienne retrouve dans la capitale son père français qui ne l'a jamais reconnu. Récit teinté de contestation politique. Aspects intéressants. Tension mal soutenue. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1986

Durée :

86 min.

Réalisation :

Ridha Behi

Pays :

France

Distributeur :

Crépuscule

Interprètes :

Julie Christie
Ben Gazzara
Patrick Bruel

En 1955, alors que se manifeste en Tunisie un fort mouvement d'indépendance, Paul Rivière, planteur d'origine française, décide de regagner l'Europe avec sa femme Betty, une Anglaise qu'il a connue à Tanger. Paul a eu un fils, Wanis, d'une paysanne tunisienne, Mariam, mais ne l'a jamais reconnu. Le garçon porte une admiration muette à la blonde Betty. Après le départ des patrons, Mariam part s'établir à la ville avec Wanis qui pourra y apprendre un métier. Devenu mécanicien, le jeune homme retrouve dans cette ville Betty et Paul qui sont finalement restés en Tunisie, elle comme propriétaire d'un club à la mode, lui comme horloger. Un drame couve sous ces retrouvailles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

ââ‚¬¢ Le cinéaste tunisien Ridha Behi s'est fait remarquer à la fin des années 70 avec Le Soleil des hyènes, un film qui dénonçait l'exploitation des pays du Tiers-Monde à des fins touristiques. Avec Champagne amer, il semble avoir visé résolument le marché international si l'on en juge par la distribution. Là encore il est question de comptes mal réglés entre colonisateurs et colonisés, mais si le début du film pose de façon assez claire les éléments d'un conflit vaiable, la suite manque singulièrement de tension dramatique. Malgré un talent reconnu, les interprètes (mis à part Jean Carmet) n'ont pas un jeu très convaincant,

Texte : Robert-Claude Bérubé

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