Un Heureux événement (Seitenstechen)

All. 1985. Comédie fantaisiste de Dieter Pröttl avec Mike Krüger, Susanne Uhlen, Claudia Neidig. Ressentant un malaise qu'il attribue à ses activités sentimentales clandestines, un homme apprend de son médecin qu'il est "enceint". Scénario artificiel. Plaisanteries lourdes. Mise en scène banale. Interprétation tout juste honnête.

Un Heureux événement (Seitenstechen)

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All. 1985. Comédie fantaisiste de Dieter Pröttl avec Mike Krüger, Susanne Uhlen, Claudia Neidig.

Ressentant un malaise qu'il attribue à ses activités sentimentales clandestines, un homme apprend de son médecin qu'il est "enceint". Scénario artificiel. Plaisanteries lourdes. Mise en scène banale. Interprétation tout juste honnête.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1985

Durée :

86 min.

Réalisation :

Dieter Pröttl

Pays :

Allemagne

Distributeur :

Cinéma International

Interprètes :

Mike Krüger
Susanne Uhlen
Claudia Neidig

En même temps qu'il vit une liaison satisfaisante avec Monica, Norbert a des rendez-vous clandestins avec Ulla, l'épouse de son meilleur ami Otto. Un Jour, il ressent un malaise qu'il attribue à ses activités sentimentales. Comme le mal persiste, il consulte un médecin qui appelle des collègues en renfort pour confirmer son diagnostic. Il appert que Norbert serait "enceint". Embarrassé d'abord par cette situation inhabituelle, le jeune homme finit par s'y faire, d'autant que Monica le soutient. II se fait même un capital publicitaire en attendant sa délivrance.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce sujet censément insolite a déjà été traité sans grand succès trois ou quatre fois et ce n'est pas cette nouvelle mouture qui améliorera la moyenne. L'auteur se dédouane d'ailleurs un peu trop facilement en dernière instance en présentant toute l'aventure comme un rêve du héros. Pour le reste, on a droit à toutes les plaisanteries attendues, offertes avec une lourdeur joviale et une coquinerie faussement naïve à la Benny Hill. L'illustration, qui se veut vive et colorée, ne dépasse guère une banalité apprêtée. Les comédiens manifestent plus de bonne volonté que de drôlerie.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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