Remarquable

Tristesse et beauté

Name: Tristesse et beauté
Director: Joy Fleury
Genre: Drame psychologique
Duration: 97 min.

Fr. 1985. Drame psychologique de Joy Fleury avec Myriem Roussel, Charlotte Rampling, Andrzej Zulawski. Pour venger une amie, une jeune peintre espère détruire le bonheur familial de l'ancien amant de celle-ci. Adaptation peu heureuse d'un roman japonais. Résultat artificiel. Mise en scène maniérée et froide. Interprétation indifférente.

Tristesse et beauté (Tristesse et beauté)

13 ans +

Fr. 1985. Drame psychologique de Joy Fleury avec Myriem Roussel, Charlotte Rampling, Andrzej Zulawski.

Pour venger une amie, une jeune peintre espère détruire le bonheur familial de l'ancien amant de celle-ci. Adaptation peu heureuse d'un roman japonais. Résultat artificiel. Mise en scène maniérée et froide. Interprétation indifférente.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1985

Durée :

97 min.

Réalisation :

Joy Fleury

Scénario :

Joy Fleury
Pierre Grillet
D'après le roman de Yasunari Kawabata

Photographie :

Bernard Lutic

Musique :

Jean-Claude Petit

Montage :

Nelly Meunier

Pays :

France

Distributeur :

Karim

Interprètes :

Myriem Roussel
Charlotte Rampling
Andrzej Zulawski
Béatrice Agenin
Jean-Claude Adelin
Jean-Pol Dubois
Isabelle Sadoyan

Hugo Pierjoyre, un romancier en panne d'inspiration, s'en va retrouver Lea Ueno, une artiste avec qui il a eu une liaison vingt ans auparavant. Voyant la souffrance que réveille en Lea cette visite, sa disciple Prudence, qui a vingt ans, décide de la venger. Elle se rend à Paris offrir à Pierjoyre une de ses oeuvres et fait la connaissance du fils de l'écrivain, Martin, un garçon de son âge. Elle s'intéresse à lui, mais n'en poursuit pas moins son projet: en devenant la maîtresse de Hugo, elle espère détruire son bonheur familial.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette transposition à l'Occident des thèmes et des situations d'un roman japonais n'apparaît pas des plus heureuses. Le projet était ambitieux, voire téméraire pour un premier film, et le résultat se révèle artificiel. La mise en scène est maniérée et froide et les acteurs semblent avoir été encouragés à poser plus qu'à vivre devant la caméra. Il en résulte une oeuvre par trop distanciée et même ennuyeuse qui n'entraîne pas l'adhésion du spectateur, tant les motivations paraissent énigmatiques.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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