Substance (The Stuff)

Name: Substance
Director: Larry Cohen
Genre: Drame d'horreur
Duration: 93 min.

É.-U. 1985. Drame d'horreur de Larry Cohen avec Michael Moriarty, Andrea Marcovicci, Scott Bloom. Un détective et une publicitaire tentent de découvrir les secrets de fabrication d'une substance gélatineuse devenue le dessert favori des Américains. Récit abracadabrant mené avec relâchement. Personnages inutilement caricaturaux. Effets d'horreur tombant souvent à plat. Interprétation insouciante.

Substance (The Stuff)

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É.-U. 1985. Drame d'horreur de Larry Cohen avec Michael Moriarty, Andrea Marcovicci, Scott Bloom.

Un détective et une publicitaire tentent de découvrir les secrets de fabrication d'une substance gélatineuse devenue le dessert favori des Américains. Récit abracadabrant mené avec relâchement. Personnages inutilement caricaturaux. Effets d'horreur tombant souvent à plat. Interprétation insouciante.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1985

Durée :

93 min.

Réalisation :

Larry Cohen

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Michael Moriarty
Andrea Marcovicci
Scott Bloom

Une mystérieuse substance gélatineuse est devenue sous le nom de Stuff le dessert favori des Américains. Menacés de ruine, les fabricants de crème glacée font appel à un détective, David, pour découvrir les secrets de fabrication de ce nouveau succès alimentaire. David obtient l'aide d'une publicitaire, Nicole, qui a contribué à la popularité du produit. Un jeune garçon, Jason, qui a constaté les effets surprenants du Stuff sur ses proches, se joint à eux dans leurs recherches. Il semble que le Stuff soit animé d'une vie propre et en vienne à contrôler l'esprit du consommateur en même temps qu'il se nourrit de lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur Larry Cohen, spécialisé dans le cinéma fantastique, a parfois des idées originales qu'il n'arrive pas toujours à transcrire dans une illustration convaincante. Ici, des éléments satiriques sur les habitudes alimentaires des Américains, comme sur les campagnes publicitaires qui poussent à la consommation, se perdent dans un récit abracadabrant mené à la va-comme-je-te-pousse. Les personnages apparaissent inutilement caricaturaux et des effets d'horreur surgissent inopinément puis s'évanouissent sans avoir créé beaucoup d'impact. Les comédiens s'acquittent de leur rôle avec une certaine insouciance.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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